AccueilL'histoire Comment la poussière de farine et une étincelle malhonnête ont fait exploser le plus grand moulin du monde en 1878 . L'histoire . Comment la poussière de farine et une étincelle malhonnête ont fait exploser le plus grand moulin du monde en 1878 . 2022. 2022. Lorsque Cadwallader Colden Washburn a construit un moulin à Minneapolis en 1874, c'était le
LaFrance - Topic Quel est le PAYS le plus MALAISANT au monde ? La Malaisie du 21-07-2019 19:31:13 sur les forums de Malaisie
Lesprofessions malhonnêtes ne sont pas non plus, en elles-mêmes et par elles-mêmes, ce sont simplement les choix de ceux qui sont impliqués quant à la façon dont ils se conduisent. De nombreux politiciens commencent leur carrière en tant qu'avocats. Étant donné qu'il y a beaucoup plus d'avocats que de politiciens, il est probable qu'il y ait un plus grand nombre d'avocats
Découvrezle top 10 des pays les plus corrompus d'Afrique. La corruption est une forme de malhonnêteté ou d'activité criminelle commise par une personne ou une organisation en position d'autorité. Découvrez le top 10 des pays les plus corrompus d'Afrique. Connexion; S'inscrire; Newsletter Mercredi, Août 24, 2022. Pas de résultat . Voir tous les résultats . Richesse.
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xypnf. Emmanuel Todd ”L'Etat ne peut pas être incarné par un enfant… or Emmanuel Macron est désormais perçu comme un gamin par les Français”Au-delà de tous les problèmes économiques, sociaux, politiques, européens, qui vont se poser dans l'année 2019, qui s'annonce terrible, Emmanuel Macron va être confronté à un problème de légitimité absolument nouveau. Max Weber avait utilisé le concept de pouvoir charismatique ; un individu, un chef, qui fascine d'une façon subliminale et irrationnelle mais qui n'est pas forcément un dictateur dangereux. Et il me semble qu'Emmanuel Macron va enrichir nos typologies du concept de président anti-charismatique. Je m'explique. Il faut reprendre la séquence. Il y a eu un élément charismatique lors de l'élection de Macron, qui fascinait les classes moyennes supérieures. J'ai vu cela autour de moi. Il parlait avec un air un peu halluciné, d'une façon que je percevais comme absolument inintéressante, mais qui, dans le milieu plutôt macroniste dans lequel je vis, transportait les gens. Il était perçu comme jeune et supérieurement intelligent. Je crois que la question de son intelligence supérieure est réglée pour tout le monde, il a quand même produit une crise sociale d'une ampleur sans précédent en France. Mais il reste jeune. Et, de fait, lorsqu'on entend les gens parler de lui, les manifestants ou même les journalistes, il est clair qu’il a maintenant pour nous tous Français une image d'enfant. "C'est un gamin" "C'est un gamin mal élevé, vicieux". L'exemple le plus étonnant que j'ai vu a été Vanessa Schneider, dans une émission de télévision, qui disait en gros qu'il faisait semblant d'avoir l'air d'un enfant, c’est-à -dire qu'elle-même le percevait comme un enfant mais voulait toujours adhérer au mythe d'Emmanuel Macron bon comédien et dans la maîtrise des la possibilité théorique d’une incarnation stable de l’État par un enfant n'existe pas. Dans la fonction dirigeante, il y a la fonction paternelle, cela est d'une banalité qui n'a pas attendu Freud et la psychanalyse. Le Roi, le président, le chef, doit être un père. Et aujourd’hui, nous sommes dans une situation inversée structurellement où le chef est un enfant et où il n'est pas impossible que, symétriquement, les Gilets Jaunes représentent une forme de père collectif. Parce ce que ce qui est était très frappant, sur ces ronds-points, c'était l'âge des gens. Ils étaient occupés, entre autres, par des gens à cheveux blancs, des retraités, de pères au sens générique du terme. Un pays ne peut pas vivre avec une contestation qui représente une image paternelle et un leader qui représente une image d'enfant. C'est un élément nouveau d'instabilité psycho-politique, métaphysique même, avec lequel il va falloir que l'une des raisons de l'approbation générale des revendications des Gilets Jaunes par la population correspond à ce modèle d'une autorité inversée. Si les Gilets jaunes sont le père, alors il est normal qu'ils représentent, eux, un pouvoir charismatique collectif et qu'ils soient soutenus par 70-75% de l'opinion. Ils sont la légitimité. Le modèle interprétatif marche ici très bien. Il expliquerait également la tolérance à la violence, qui était plus surprenante. Il s’agirait d’une forme symbolique de fessée politique. Plus simplement nous vivons une forme nouvelle de vacance du pouvoir qui a toutes sortes d'applications. Nous étions sur l'autorité implicite des Gilets Jaunes, mais il y a aussi la question du contrôle réel de l'appareil d'État par Emmanuel Macron. On ne sait pas quel est son niveau de contrôle des forces de police, dont les leaders syndicaux viennent de nous annoncer l’acte I de leurs revendications matérielles, au lendemain de l’acte V des Gilets Jaunes. Nous retombons sur l'idée que l'autorité ne peut pas être incarnée par un enfant, qui, depuis ses agressions verbales contre de gens ordinaires sur le terrain, depuis l'affaire Benalla, s'est également forgé l’image d'un enfant politique européenne est typiquement immature. Emmanuel Macron, par ses réformes radicales, voulait que les Français se comportent comme des enfants sages, et que les Allemands lui donnent un bon point. La politique d'Emmanuel Macron est d'un bout à l'autre complètement enfantine. Le débat actuel auquel nous assistons concernant la résistance de Bercy renforce cette image d'un président enfant. Un président adulte aurait déjà décimé billet du 15 Octobre 2018 Emmanuel Todd Emmanuel Macron est un "nain intellectuel", un "puceau de la pensée" Un "puceau de la pensée" élu dans "une hallucination collective" le macronisme selon Emmanuel Todd.
Avec une fortune de 127,9 milliards de dollars, l'entrepreneur américain Elon Musk est désormais la deuxième personne la plus riche au monde, devant le fondateur de Microsoft Bill Gates, selon le dernier classement des milliardaires établi par Bloomberg. Elon Musk, le tumultueux patron du constructeur de véhicules électriques Tesla, est passé devant Bill Gates pour devenir le deuxième homme le plus riche au monde, selon le classement des milliardaires de l'agence Bloomberg. La fortune de l'entrepreneur de 49 ans né en Afrique du Sud s'est étoffée de 7,24 milliards de dollars sur la seule journée de lundi, grimpant à 128 milliards de dollars. L'ultra-médiatique dirigeant, qui est également co-fondateur de la société spatiale SpaceX, était déjà passé en quelques semaines devant Mark Zuckerberg, le dirigeant de Facebook, et Bernard Arnault, le patron du groupe de luxe LVMH. Sur le podium des multi-milliardaires, il n'est plus que derrière Jeff Bezos, le fondateur du géant du commerce en ligne Amazon, dont la fortune est estimée à 182 milliards de dollars. Les riches, encore plus riches Bill Gates complète le trio de tête avec une fortune évaluée à 127,7 milliards de dollars. L'ancien co-fondateur de Microsoft a vu sa fortune fondre parce qu'il en consacre une bonne partie à la fondation Bill et Melinda Bloomberg, les plus riches ont vu leur fortune cumulée croître de milliards de dollars depuis janvier, en hausse de 23%, alors que la pandémie de coronavirus a provoqué le ralentissement de l'économie mondiale et entraîné des cortèges de licenciements et une vague de faillites d'entreprises aux Etats-Unis. L'ascension fulgurante de M. Musk dans le classement des grosses fortunes est lié à l'envolée du titre de Tesla à Wall Street, qui a pris plus de 500% depuis le début de l'année et y vaut désormais 495 milliards de dollars. Ce qui a permis à M. Musk, qui possède environ 18% de la société, de gagner 100 milliards sur la même période. Le groupe est d'une part devenu rentable, parvenant à gagner de l'argent pendant cinq trimestres consécutifs. Un engouement de nombreux investisseurs pour Tesla Son action a par ailleurs été dopée ces dernières semaines par l'élection à la présidence des Etats-Unis de Joe Biden, qui a promis de favoriser le développement des véhicules électriques dans le pays, et par l'annonce de la prochaine entrée du groupe dans le prestigieux indice S&P 500. En faire partie permettra à l'action Tesla d'être systématiquement incluse dans de nombreux produits financiers qui suivent mécaniquement ses fluctuations, les ETF, ce qui devrait lui donner encore plus d'ampleur. Tesla profite de façon générale de l'engouement de nombreux investisseurs pour ce qu'ils considèrent être le futur de l'automobile. Même s'ils écoulent bien plus de véhicules, les fabricants plus traditionnels de voitures General Motors et Ford ne valent en Bourse que 64 milliards et 35 milliards de dollars respectivement. COVID 19 Belgique où en est l'épidémie ce mardi 24 novembre?
Accueil / Monde / Afrique / Une étude révèle que les Marocains seraient le peuple le plus malhonnête au monde 4 décembre 2016 Afrique, Canada & Usa, Europe, Moyen Orient, Voyages et culture 294,754 Views En effet, d’après une étude menée par l’université de Nottingham et récemment publié dans l’hebdomadaire scientifique Nature, le peuple marocain serait le peuple le plus malhonnête au monde… D’après cette étude, le Maroc est talonné par les Tanzaniens, les Kényans et les Chinois. Pour effectuer cette analyse, les chercheurs scientifiques ont développé un “indice de prévalence de violation des règles” pour comparer 159 pays. Puis, pour alimenter leur étude, ils ont récupéré les données disponibles depuis 2003 en se focalisant sur la fraude fiscale, l’évasion fiscale et la corruption dans le pays. Les chercheurs ont demandé à individus de différentes nationalités de lancés un dé dans une pièce privé et de rapporter le résultats. Chaque nombre élevé se rapporter à un gain élevé. Au terme de cette investigation, les Marocains et les Tanzaniens apparaîtraient être les moins sincères, suivis des Kényans et des Chinois. Ceux qui ont eu les meilleurs scores sont le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la Suède et l’Allemagne. Cette étude aurait non seulement démontré la malhonnêteté de certains pays africains et asiatiques, mais aussi qu’il existerait un “lien solide” entre le non-respect des règles et l’honnêteté intrinsèque. D’autre part, les sujets originaires de pays à faible taux de violation des règles étaient moins susceptibles de mentir pour un gain additionnel. Un souci d’honnêteté malgré tout Mais l’attention de ces scientifiques a été retenue par le comportement des individus. De nombreux tricheurs évitaient d’annoncer le chiffre maximum. Les répondants gonflaient juste légèrement leurs résultats pour se rapprocher de la réalité. Même dans les pays gagnés par la corruption, les gens se soucient tout de même de l’honnêteté dans le sens qu’ils évitent les mensonges flagrants», a déclaré au Daily Mail l’un des auteurs de l’étude, Simon Gächter. D’après lui, ce comportement est cohérent avec les théories psychologiques de l’honnêteté, selon lesquels les gens se soucient de l’honnêteté, mais parfois peuvent extrapoler la vérité de manière à maintenir l’image de quelqu’un d’honnête et à tirer en même temps un bénéfice matériel». Check Also Fascination pour une Guerre Mondiale La crise des migrants à la frontière polono-biélorusse suscite chez des chefs militaires anglo-saxons, d’une …
Quelques jours avant le soulèvement des bonzes, Guy Delisle publiait ses Chroniques birmanes. Un portrait sensible et engagé de la la différence des précédents ouvrages, Shenzhen et Pyongyang, Chroniques birmanes est à la fois plus intimiste et plus engagé sur le terrain politique. Comment s'explique cette évolution?Dans Shenzhen, la Chine n'était que la toile de fond de mon histoire, alors que dans Pyongyang déjà , la ville - marquée par l'omniprésence de la dictature - était un personnage en soi. Je m'étais beaucoup documenté avant de partir, actualisant, vérifiant mes connaissances sur place. Avec Chroniques birmanes, j'ai voulu accentuer le côté politique, incluant des éléments journalistiques. Car à la différence de la Corée du Nord, nous recevions en Birmanie des informations de l'extérieur. TV5, la BBC, et bien que censurés, quelques définiriez-vous ces Chroniques, qui empruntent finalement autant aux carnets de voyage, au roman autobio-graphique, qu'au reportage ou au documentaire?C'est un récit de voyage. Sur ce type de sujet, à défaut de savoir comment agir, il me semble que l'important est dans un premier temps d'être au courant de ce qui se passe. C'est dans cet esprit que j'ai voulu offrir un témoignage de ce que j'avais vu, vécu. Je l'ai construit un peu comme un reportage, dilué dans un album dont les séquences mélangent les petites histoires d'un papa en poussette et la grande Histoire - celle de la politique et de la diplomatie - à travers par exemple l'image de la résistante Ang Sang Suu Kyi. Pour autant, étant resté la plupart du temps à Rangoun, je n'ai pas vu les atrocités auxquelles d'autres, humanitaires notamment, ont assisté dans la ?zone interdite? et dans le Nord du personnage de Tintin apparaît au détour d'une page. Est-ce un simple clin d'oeil, ou vous êtes-vous senti une âme de ?reporter? quand vous étiez sur place?Je ne suis pas un aventurier, qui rechercherait le grand spectaculaire. Mais j'aime sortir de chez moi l'aventure peut se trouver au coin de la rue. Je veux rapporter des petites histoires, qui mettent l'accent sur des éléments exotiques, cocasses, drôles ou surréalistes. Pour cette raison, dessiner les temples de Bagan par exemple m'intéressait avec votre compagne - administratrice pour MSF -, vous avez évolué dans le petit monde des expatriés avec lequel vous n'êtes pas tendre...Certains vivent dans une bulle, en total décalage avec la société birmane et le pays. Ils forment une micro-société qui vit isolée, repliée dans une Europe importée. Les deux réalités ne se touchent pas. Et puis il y des paradoxes difficiles à comprendre, comme ces personnes qui travaillent dans l'humanitaire, se disent ?de gauche?... et emploient des nounous 7j./7 sans penser qu'elles aussi ont des enfants ou exploitent des domestiques au prétexte qu'ils les ?payent bien?.C'est dans ce monde que gravitent les humanitaires, les diplomates et les représentants des organisations internationales . Votre discours se fait parfois acerbe lorsque vous abordez les questions de la présence et de l'action humanitaires et il faut dire que j'étais en permanence au coeur du débat sur la présence occidentale... celle de Total comme de MSF. Les ONG les plus structurées et sérieuses respectent un code d'éthique, et essayent de rester dans un questionnement permanent par rapport à leurs missions et leurs objectifs. Tout le monde est conscient que la présence d'ONG dans un pays change la donne politique. Il est par exemple essentiel de se poser la question de savoir si une aide apportée à la population n'entrave pas, dans une certaine mesure, le développement économique d'un pays voire ne freine ou empêche sa démocratisation, en cautionnant indirectement un régime n'ai pas trop chargé, mais il y a quand même des trucs bizarres, dans certaines ONG anglophones notamment. Il y a aussi celles qui ne se posent pas de question, si ce n'est celle de savoir ce qu'ils feront si leur financement est coupé. Il y a donc une différence énorme entre MSF, financés à 90% sur fonds propres, et des micros-structures travaillant parfois sur de petites missions assez floues. L'exemple de l'Arche de Zoé illustre de manière inquiétante les dérives un artiste "engagé"?Lorsque j'écris, j'utilise habituellement les notes que j'ai prises pendant mon séjour. Or pour ce livre, j'ai commencé à travailler sur place, à Rangoun. Initialement, le livre était plus axé sur ma vie personnelle, la paternité, la famille... Mes velléités étaient avant tout d'illustrer les aspects les plus drôles et d'insister sur le confort de l'occidental. Au fil des semaines, les éléments politiques se sont mêlés à ceux de la vie quotidienne, et la terreur imposée par la junte s'est progressivement mélangée au récit de la vie des Birmans que je côtoyais. Le contenu plus politique s'est donc imposé au fur et à mesure de mon travail. Par ailleurs, je jouis d'une liberté énorme. Si un journaliste se doit d'être objectif, j'ai moi la possibilité d'être subjectif, sans être malhonnête bien regard portez-vous sur les événements de septembre dernier?D'après ce que je sais, la résistance continue malgré les arrestations perpétrées par les après avoir fait peur à la population pour les dissuader de rejoindre les bonzes, les autorités relâchent les prisonniers au fur et à mesure. De leur côté, les moines continuent de refuser les offrandes des militaires, et les sacs de riz s'entassent devant certaines pagodes. D'après ce que j'ai lu sur le site de la BBC, une centaine de moines ont encore manifesté à la les bonzes n'ont-ils pas réussi à fédérer une véritable révolution?Les Birmans vivent dans un climat de suspicion et de peur permanente, voire de terreur. Mais à force, la résignation s'est installée. Ceux qui sont nés sous la dictature ne connaissent rien d'autre. Pour eux, c'est comme ça...Croyez-vous qu'une vraie révolution démocratique soit possible sans un soutien fort de l'extérieur?Le sort de la Birmanie n'intéresse pas grand monde. En Asie, des pays comme la Chine, la Russie ou la Thaïlande veillent à ne pas tuer la poule aux oeufs d'or, fermant les yeux sur le totalitarisme du régime. L'Association des nations du sud-est asiatique Asean vient ainsi de renoncer à sanctionner les généraux birmans alors qu'elle s'était dite ?révulsée? par la violence des mêmes forces birmanes... Et la Thaïlande s'est elle engagée dans un projet de construction de barrage en collaboration avec la Birmanie. Quant aux puissances occidentales, elles ne semblent pas prêtes à aller plus loin que les sanctions déjà fait qu'Ang Sang Suu Kyi ait pu rédiger une déclaration, rencontrer des partisans de la Ligue Nationale pour la démocratie puis un médiateur de la junte vous semblent-ils être de véritables signes positifs?Si l'on considère que rien n'a véritablement bougé positivement depuis la répression en 1988 et les élections confisquées de 1990, tout signe, même minime, de relâchement de l'étau militaire est bon à prendre. Ceci dit, la personnalité-même d'Ang Sang Suu Kyi ne fait pas l'unanimité. Lors de précédents contacts, elle a affiché sa volonté de voir les ONG soumises au gouvernement. Même si elle incarne la résistance à Than Shwe, qu'elle a refusé de rencontrer, son attitude varie même avec les Occidentaux, selon qu'ils sont diplomates ou membres d' est la prochaine étape du Delisle voyageur l'Asie encore, ou une autre dictature?Je vais repartir cet été accompagner ma femme dans une autre mission, nous ne savons pas encore où. J'aimerais bien aller au Turkmenistan. Le rapport de ce peuple au culte de l'image m'attire Birmanes, 263 p. Delcourt, collection Shampooing, 16,50?Source
Réunion de presse avec Carlos Fernandez de Cossio, directeur général chargé des États-Unis au ministère des Relations extérieures. Photo Ariel Cecilio Lemus Bien sûr que l'on peut parler d'une recrudescence de l'hostilité, d'un état d'hostilité ouverte. Ce gouvernement a décidé et s’est engagé, en tant que gouvernement des États-Unis, à prendre des mesures extrêmes pour mettre fin à la Révolution cubaine, pour renverser notre gouvernement. » C'est par ces propos que le directeur général chargé des États-Unis au ministère cubain des Relations extérieures Minrex, Carlos Fernandez de Cossio, a répondu à la première des questions posées lors de la réunion de presse qui s’est déroulée dans la matinée du mercredi 20 mai au siège ministère cubain des Relations extérieures. Cossio a insisté sur la façon d’agir de l'administration actuelle de la Maison-Blanche. Le gouvernement des États-Unis a notamment intensifié son agressivité verbale, en usant d’une forte dose de mensonges et de calomnies, mais il a également pris des mesures d’une portée considérable, parmi lesquelles le durcissement du blocus, l’intensification de la traque des transactions commerciales de Cuba partout dans le monde, des transactions financières dont dépend notre commerce extérieur, dont dépend le fonctionnement de notre économie, a souligné le fonctionnaire cubain. Cossio a ajouté que mesures de coercition envers les pays tiers se sont multipliées, l'administration actuelle s'étant engagée à appliquer à l'extrême la Loi Helms-Burton. En outre, ce gouvernement a adopté des mesures aussi extrêmes, comme essayer d'empêcher l'arrivée du carburant dont notre économie a besoin pour fonctionner, et s'il n’y est pas parvenu, c'est grâce à la solidité, aux points forts notre pays », a-t-il souligné. L'administration Trump s'est proposée de réduire au minimum les échanges bilatéraux officiels entre les deux pays ; cette coopération bilatérale, qui s’était établie sur des questions aussi sensibles que l'application de la loi dans la lutte contre le trafic de drogue, contre le terrorisme. Cette administration a également dressé le plus d'obstacles possible aux échanges qui ne dépendent pas directement du gouvernement universitaires, culturels, religieux, sportifs, scientifiques et techniques, et en matière de santé. Elle a entravé les liens entre les Cubains vivant des deux côtés du Détroit de Floride en suspendant le trafic aérien et les vols vers diverses régions de Cuba, et elle a accentué sa traque et ses attaques contre la coopération médicale cubaine, a ajouté Fernandez de Cossio. Concernant l'intention d'imposer la matrice d'opinion selon laquelle le blocus contre notre pays n'affecte pas le commerce avec des pays tiers, le diplomate a répondu Il est vrai qu'il y a des gens qui tiennent ce genre de propos, et il est vrai qu'il y a une matrice d'opinion qu'ils essaient d'imposer, et ceux-là mentent délibérément, ce sont des propos d’une malhonnêteté totale ». La motivation de l'application du blocus est bien connue ; elle a été rédigée par des fonctionnaires du gouvernement des États-Unis. Depuis le début des années 60, il y a le fameux mémorandum du Sous-secrétaire d'État Lester Mallory, dans lequel il définit l'objectif de son gouvernement de créer des difficultés, des pénuries, une situation économique insoutenable dans notre pays pour tenter d’arracher des concessions politiques à Cuba. Et comme si cela ne suffisait pas, tout cela est écrit dans la Loi Helms-Burton, selon laquelle que le blocus vise à créer des difficultés à Cuba et à priver Cuba de ressources économiques. » La loi établit clairement que le blocus n'est pas seulement l'interdiction du commerce entre Cuba et les États-Unis ; le Titre I stipule explicitement qu'il s'agit de l'obligation du gouvernement », une obligation découlant de la loi, de tenter d'arrêter et d'entraver les relations commerciales de Cuba avec toute région du monde, au point qu'elle oblige le Département d'État à faire rapport chaque année au Congrès sur les résultats de l’application de cette mesure de blocus, qui coûte à notre pays plus de 4 milliards de dollars par an. Chacun sait que Cuba ne peut rien importer des États-Unis, Cuba ne peut rien importer de n'importe quelle partie du monde si ce produit contient plus de 10 % de composants étasuniens », a rappelé Fernandez de Cossio. Dans une économie aussi mondialisée que l'actuelle, il est très difficile de trouver des produits qui ne soient pas fabriqués à 10% aux États-Unis... Quiconque prétend que le blocus économique n'est pas réel, même quelqu'un qui prétend qu'il ne s'agit que d'une interdiction du commerce entre Cuba et les États-Unis, agit de façon délibérément malhonnête », a-t-il souligné. Le diplomate cubain a qualifié d’incroyables et inadmissibles les agressions de la Maison-Blanche contre notre coopération médicale solidaire. L'un des principaux outils du gouvernement des États-Unis contre Cuba a pour but de discréditer notre pays et de dénigrer la Révolution, en essayant de montrer que ce petit pays, aux ressources limitées et soumis à un blocus économique, ne peut réussir dans aucun domaine. Mais Cuba possède un système de santé si vigoureux que non seulement il nous permet de nous attaquer aux problèmes de santé de l’Île, mais que notre coopération médicale internationale permet de dispenser des soins à des millions de personnes dans le monde », a déclaré Fernandez de Cossio. Ceci est inacceptable pour les États-Unis ; leur but avec cette campagne est de discréditer Cuba, d’imposer l’idée que nous sommes un pays non viable et de nous priver des ressources économiques que nous obtenons légitimement et en toute transparence » grâce aux services que nous fournissons à l’échelle internationale. Garantir les moyens dont le pays a besoin pour faire face à la pandémie de COVID-19 nous a valu des sanctions de la part de Washington, qui a argué, pour tenter de dissimuler la barbarie, la possibilité de demander une autorisation au Département du Trésor. En ces temps d'urgence sanitaire, a ajouté Fernandez de Cossio, il est absurde de penser que le Département du Trésor des États-Unis soit disposé à délivrer une autorisation dont l’obtention peut prendre des mois, voire un an. Ils ont empêché l'achat de ventilateurs pulmonaires produits par des filiales étasuniennes, de dons d’amis de Cuba qui dépendaient pour leur acheminement de moyens de transports de ce pays du Nord. Pour conclure, le directeur général chargé des États-Unis au Minrex a évoqué les prochaines élections présidentielles dans ce pays, dans lesquelles la question cubaine a refait surface, notamment dans le sud de la Floride, bien qu' il soit difficile de prévoir quel sera son poids réel lors des élections de novembre, même dans cet État ». Des sondages réalisés aux États-Unis ces dernières années révèlent que, même pour les électeurs cubano-américains, la question des relations avec Cuba n'est pas aussi importante. Sur leur liste de priorités, cette question se situe en quatrième ou en cinquième position ; ils accordent davantage d'importance aux questions liées à la santé, à l'emploi, à la sécurité des citoyens et au logement », a-t-il précisé. On a du mal à croire que la majorité des Cubains soutiennent une campagne visant à entraver les relations avec leurs familles, ce qui nous porte à penser que la machine politique, en particulier le Parti républicain de Floride, ne tient pas trop compte des intérêts ou de l'opinion des Cubains, mais qu’elle les utilise plutôt à ses propres fins », a indiqué le diplomate.
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