Alorsque le prophĂšte traversait une telle Ă©tape ou son appel se passait entre la rĂ©ussite et la persĂ©cution et oĂč les Ă©toiles de l'espoir commençaient Ă  apparaĂźtre Ă  l'horizon, s'ouvrit l'Ă©pisode du voyage nocturne et de l'ascension. ll existe plusieurs versions quant Ă  la datation de cet Ă©vĂ©nement. Mais les trois suivante sont les plus probables . -ll eut lieu dix Lavie du ProphĂšte Muhammad - Que la paix et le salut soient sur lui -, considĂ©rĂ© par les musulmans comme le dernier EnvoyĂ© de Dieu, est pourtant Ă©difiante, profonde, lumineuse. Elle est l'histoire de la foi, de la mystique et de l'engagement. Elle est aussi l'histoire de la simplicitĂ©, de la conviction, de l'ouverture et de la VoilĂ pourquoi le ProphĂšte (sur lui la paix et le salut) a interdit de s’asseoir ainsi de maniĂšre gĂ©nĂ©rale comme cela a Ă©tĂ© rapportĂ© dans le recueil authentique de Muslim : « Le ProphĂšte (sur lui la paix et le salut) a interdit de s’accroupir lorsque l’on porte un seul vĂȘtement, en dĂ©voilant ainsi son sexe. » L’imam NawawĂź (qu’Allah lui fasse misĂ©ricorde) LeprophĂšte (qpssl) avait 63 ans, il Ă©tait bien fatiguĂ© et avait beaucoup donnĂ© ! Il avait traversĂ© tellement d'Ă©preuves: il avait Ă©tĂ© orphelin, il avait perdu Et Nous ne t’avons envoyĂ© qu’en misĂ©ricorde pour l’univers. » (Coran 21:107) » (Coran 21:107) Dernier Sermon du notre PROPHÈTE MOHAMMED paix et bĂ©nĂ©diction sur luiLe prophĂšte Mohammed (que la paix et les bĂ©nĂ©dictions de Dieu soient sur lui) est nĂ© Ă  la Mecque, en Arabie Saoudite, aux environs de l’an 570 de notre Ăšre. lSEmD. Comment Ă©tait le Mohamed le prophĂšte d’Allah, que la paix et le salut d’Allah soient sur lui ? Vous vous ĂȘtes sĂ»rement demandĂ© Ă  quoi il ressemblait, quels Ă©taient ses traits physiques, et bien sĂ»r comment se comportait-il ? Bien loin de certaines gĂ©nĂ©ralitĂ©s que tout le monde connaĂźt peut-ĂȘtre, nous vous proposons de nous suivre pendant quelques lignes pour mieux visualiser celui sur qui l’on demande Ă  Allah d’étendre Ses PriĂšres et Son Salut. Demandez-le avec nous Salla Lah alayhi wa sallam ! Dans cet humble article, nous souhaitons vous aider Ă  mieux vous reprĂ©senter le bien aimĂ©, le noble exemple de toute une communautĂ© grĂące Ă  quelques descriptions celles faites par la famille du prophĂšte et une autre description devenue cĂ©lĂšbre dans l’histoire islamique, celle d’une femme rencontrĂ©e pour la premiĂšre fois sur la route de la hijra. Commençons par cette derniĂšre et penchons-nous ensuite sur les dires de sa noble famille Ă  son sujet et ce qu’ils ont gardĂ© en mĂ©moire de son noble passage Ă  leurs cĂŽtĂ©s. Comment le dĂ©crit une inconnue ? Cette inconnue devenue par la suite musulmane Ă©tait Oummo Ma’bad. Vous vous demandez qui Ă©tait cette dame qui a laissĂ© dans l’histoire de l’islam une description des plus dĂ©taillĂ©es et jusqu’à ce jour Ă©tudiĂ©e et connue de tous les savants en sciences en religieuses? Qu’a t-elle observĂ© en lui lors de cette courte escale devant sa tente alors que son Ă©poux Ă©tait absent ? Et surtout comment le lui a t-elle dĂ©crit lorsqu’il lui fit remarquer, Ă  son retour, qu’il ne comprenait pas d’oĂč pouvait provenir tout ce lait dans le seau ? Ce que vous allez lire ne sont pas lĂ  les dires d’une personne habituĂ©e Ă  ses assises ou Ă  sa prĂ©cieuse compagnie Ă  La Mecque. Ce n’est mĂȘme pas la parole d’une femme musulmane pleine d’amour et d’admiration pour Mohamed, le noble prophĂšte d’Allah. Remettons les choses dans leur contexte. C’est lĂ  la description d’une femme inconnue, polythĂ©iste, vivant avec son mari Abou Ma’bad, dans le dĂ©sert d’Arabie, et chez qui notre prophĂšte Mohamed, paix et salut sur lui, s’arrĂȘta de passage sur la route de la Hijra vers MĂ©dine, car pris par la soif dans le dĂ©sert alors qu’il Ă©tait accompagnĂ© de son noble compagnon Abou Bakr et de son serviteur Amir, qu’Allah les agrĂ©e. Elle n’avait jamais vu ces hommes et encore moins Mohamed, le prophĂšte d’Allah, paix et salut d’Allah sur lui. AprĂšs que le prophĂšte, paix et salut sur lui, lui eut demandĂ© si son mari Ă©tait prĂ©sent et si elle avait un animal Ă  traire, elle lui rĂ©pondit que son mari s’était absentĂ© et qu’elle n’avait qu’une chĂšvre qui ne donnait plus de lait depuis longtemps. Il lui demanda de lui montrer la bĂȘte et la permission de la traire. Il essuya ses mamelles de ses saintes mains et rĂ©cupĂ©ra un seau de lait dont il abreuva la dame en premier, les deux nobles compagnons et se servit en dernier. Puis il rĂ©cupĂ©ra encore du lait qu’il remit Ă  Oummo Ma’bad en lui demandant de le garder pour son mari. Au retour de ce dernier, il lui demanda d’oĂč provenait ce lait car il n’y avait aucune bĂȘte Ă  lait chez lui sauf sa chĂšvre malade et improductive. Lorsque sa femme lui rĂ©torqua que cela n’était que le rĂ©sultat que de la visite d’un homme. Il lui demanda de le lui dĂ©crire. VoilĂ  la description qu’en a fait cette femme trĂšs intelligente qui a pris le temps de l’observer. Ecoutons-la “Il Ă©tait d’une grande beautĂ©. Son visage Ă©tait lumineux. Il n’avait pas de ventre. Sa tĂȘte n’était ni trop petite ni trop grande. Il Ă©tait d’une bonne taille moyenne. Ses yeux Ă©taient attirants, d’un noir tranchant avec le blanc de son oeil et ses cils Ă©taient fournis. Sa voix Ă©tait belle et douce comme le bruit d’un ruisseau. Le contour de ses yeux d’un beau noir comme dessinĂ©s au KhĂŽl. Ses sourcils Ă©taient arquĂ©s et son cou long et brillant. Sa barbe n’avait que peu de cheveux blancs. Quand il se taisait, il impressionnait. Quand il parlait sa prestance forçait l’émerveillement et il Ă©tait de toute beautĂ©. Il parlait que trĂšs peu, de maniĂšre concise et prĂ©cise comme si des perles sortaient de sa bouche. De loin il Ă©tait le plus beau de tous, et de prĂšs le plus merveilleux et le meilleur parmi eux. Ni trop grand au point d’exiger de relever le regard, ni trop petit au point de baisser les yeux, il Ă©tait le plus agrĂ©able Ă  regarder des trois, toujours entourĂ© et protĂ©gĂ© par ses Compagnons. Il n’était pas renfrognĂ© ne fronçait jamais les sourcils, ni ne soutenait le regard pour critiquer.” Ibn Kathir cite que son mari, Ă  ses mots, lui cria “Par Allah, c’est le QuoraĂŻsh qui est recherchĂ© et si je le voyais, certes, je le suivrais et ne manquerais pas de chercher un chemin vers lui”. Ils se rendirent ensuite Ă  MĂ©dine et se convertirent. RapportĂ© par Al Bayaqi VoilĂ  la description dĂ©taillĂ©e de cette femme du dĂ©sert Ă  qui rien n’a Ă©chappĂ© des traits sublimes de notre prophĂšte. Quelle a Ă©tĂ© la description des compagnons ? Selon ibn AbbĂąs, qu’Allah l’agrĂ©e Ses deux incisives centrales laissaient entre elles un interstice qui semblait, lorsqu’il parlait, laisser filtrer une lumiĂšre. Quant Ă  son cou, il Ă©tait aussi beau que celui d’une poupĂ©e, faite d’argent pur. Il avait de longs cils, une barbe Ă©paisse, un large front, des sourcils lĂ©gĂšrement longs et sans couplage entre eux, un nez aquilin, des joues rebondies et luisantes, le buste droit. Son ventre et sa poitrine Ă©taient glabres imberbes. Il avait de longs bras et de larges Ă©paules, le ventre et la poitrine en harmonie, la poitrine lisse et large, de longs avant-bras, de larges paumes, les membres du corps sans dĂ©fectuositĂ©, les talons rarement en contact avec le sol, lorsqu’il se dĂ©plaçait. Il marchait sur la pointe des pieds, le corps droit et bien Ă©quilibrĂ©, de maniĂšre fort aisĂ©e ». Ali Ibn Abi Talib, qu’Allah l’agrĂ©e, disait de lui Il n’était ni grand au point de paraĂźtre Ă©tirĂ©, ni petit au point de paraĂźtre trapu, donc moyen de taille. Ses cheveux n’étaient ni crĂ©pus ni raides, mais ondulĂ©s. Son visage n’était ni plein ni rond, mais quelque peu arrondi. Son visage Ă©tait blanc de peau, quoiqu’il ait des couleurs, ses grands yeux Ă©taient d’un noir vif, tranchant avec le blanc Ă©clatant, et surmontĂ©s de longs cils recourbĂ©s et noirs. Son ossature Ă©tait imposante et sa silhouette harmonieuse et il Ă©tait imberbe du torse, Ă  l’exception d’une fine ligne de duvet qui descendait entre sa poitrine et son nombril. Ses doigts Ă©taient larges, ainsi que ses orteils. Sa dĂ©marche Ă©tait pleine de vitalitĂ©, on aurait dit qu’il descendait une pente. Quand il se retournait, il le faisait entiĂšrement. Entre ses Ă©paules se trouvait le sceau de la ProphĂ©tie, et il est le sceau des ProphĂštes . Il avait le cƓur le plus gĂ©nĂ©reux et Ă©tait le plus vĂ©ridique des hommes, sa nature Ă©tait la plus douce et il Ă©tait le plus bienfaisant pour son peuple. Celui qui le voyait pour la premiĂšre fois Ă©tait impressionnĂ©, et celui qui le frĂ©quentait par connaissance, l’aimait. Je n’ai jamais vu quelqu’un tel que lui, ni avant, ni aprĂšs ». [Tirmidhi] Hind Ibn Abi Hala, le fils du premier mariage de notre mĂšre Khadija, dĂ©crivit le prophĂšte, paix et salut sur lui, Ă  son neveu Al Hassan Ibn Abi Talib, qu’Allah les agrĂ©e tous, comme ceci “ Son visage Ă©tait lumineux et brillait telle une pleine lune. Il n’était ni trop grand ni trop petit. Ses cheveux Ă©taient longs mais ne dĂ©passaient jamais le lobes de ses oreilles, ondulĂ©s et doux. Son teint de peau Ă©tait d’un blanc Ă©clatant, lĂ©gĂšrement teintĂ© de rouge. Il avait un large front et des sourcils longs et fins, en dĂŽme, qui ne se rejoignaient pas, avec une veine qui passait entre eux qui gonflait lorsqu’il Ă©tait en colĂšre. Son nez Ă©tait aquilin et brillant, sa bouche charnue et sa dentition Ă©clatante. Son cou Ă©tait fin d’une belle couleur comme argentĂ©e. Son corps Ă©tait ferme et robuste et son ossature solide. Il n’avait pas de ventre et sa poitrine Ă©tait large et imberbe Ă  part une fine ligne de poils qui allait jusqu’à son nombril. Il avait de larges paumes de mains, douces comme la soie, ses doigts Ă©taient longs et ses plantes de pieds Ă©taient lisses sur lesquelles l’eau glissait. Il marchait dignement, droit avec une allure rapide comme s’il descendait une pente. Et quand il se retournait il le faisait de tout son corps. Son regard Ă©tait toujours baissĂ© et il ne fixait rien intensĂ©ment. Il demandait Ă  Ses Compagnons de marcher devant lui et commençait toujours par saluer celui qui le croisait.” Lorsque Al Hassan, qu’Allah l’agrĂ©e, demanda Ă  son oncle de lui dĂ©crire son comportement il continua ainsi “Le prophĂšte d’Allah, paix et salut sur lui, lorsqu’il Ă©tait seul, Ă©tait toujours triste, plongĂ© dans de longues rĂ©flexions, et souriant lorsqu’il tenait compagnie Ă  qui que ce soit. Il se taisait durant de longs moments et Il commençait et finissait ses phrases par des paroles concises et claires. Il ne parlait que pour dire quelque chose d’important et ne se mettait en colĂšre que pour les limites d’Allah. Il n’était ni dur en paroles, ni grossier et ne s’étalait pas en Ă©loges et ne discrĂ©ditait personne devant lui. Il honorait les bienfaits mĂȘme s’ils Ă©taient insignifiants aux yeux de certains, et, ne relevait rien de mauvais. Lorsqu’il faisait un signe son geste Ă©tait complet. Lorsqu’il s’étonnait il retournait ses deux paumes de mains vers le haut. Et lorsqu’il Ă©numĂ©rait, il tapait de l’index droit sur la paume de sa main gauche. Et s’il se mettait en colĂšre jamais pour avoir gain de cause pour lui-mĂȘme il tournait son visage. Et lorsqu’il se rĂ©jouissait il baissait son regard. Son rire Ă©tait plus un sourire qui laissait se dĂ©gager des dents bien blanches comme les grains de nuage.” Comme disent les savants si les distances se mesurent en centimĂštres et en kilomĂštres, que les poids se mesurent en grammes et kilogrammes, alors les comportements des ĂȘtres humains devraient se mesurer Ă  celui de notre bien aimĂ© Mohamed, paix et salut d’Allah sur lui, pour en connaĂźtre la valeur. Nous prions Allah de nous aider Ă  corriger les dĂ©faillances de nos comportements en plongeant un plus profond regard dans l’analyse de notre comportement comparĂ© Ă  celui de notre prophĂšte. Que chacun d’entre nous puise dans la Sunnah pour revivifier notre coeur et notre amour pour lui afin d’ĂȘtre aimĂ© d’Allah comme Il, Gloire Ă  Lui, nous le dit dans ce verset Dis si vous aimez vraiment Allah, suivez-moi, Allah vous aimera alors et vous pardonnera vos pĂ©chĂ©s. Allah est Pardonneur et MisĂ©ricordieux.” Sourate 3 Verset 31 Sources Omar Abd El Kafi Maroc spirituel La diffĂ©rence entre celui qui pratique le Rappel de Dieu et celui qui ne le pratique pas est comme la diffĂ©rence entre un vivant et un mort » – Hadith. D'aprĂšs 'Anas ibn MĂąlik qu'Allah soit satisfait de lui, l'EnvoyĂ© d'Allah pbAsl dit Ă  l'occasion de la naissance de son enfant "Cette nuit-ci a connu la naissance de mon fils; je lui ai donnĂ© comme prĂ©nom celui de mon ancĂȘtre Abraham 'IbrĂąhĂźm". Le ProphĂšte confia plus tard son fils Ă  'Umm Sayf, nourrice et Ă©pouse d'un forgeron, 'AbĂ» Sayf. Il alla un jour le visiter et je l'accompagnai, dit 'Anas. Nous entrĂąmes chez 'AbĂ» Sayf et le trouvĂąmes en train de souffler dans son instrument alors que la piĂšce Ă©tait empestĂ©e de fumĂ©e. Je me prĂ©cipitai vers l'homme, surpassant ainsi l'EnvoyĂ© d'Allah pbAsl. - "O 'AbĂ» Sayf, lui dis-je, arrĂȘte! L'EnvoyĂ© d'Allah pbAsl est venu!". 'AbĂ» Sayf cessa aussitĂŽt de souffler. Le ProphĂšte pbAsl demanda de voir l'enfant; il le prit, l'embrassa et lui chuchota quelques mots qu'Allah Seul sait. Et j'ai vu 'IbrĂąhĂźm au moment oĂč il rendait le dernier soupir entre les mains de son pĂšre, le ProphĂšte pbAsl. Les yeux de celui-ci pbAsl se mirent Ă  rĂ©pandre des larmes et il dit "L'Ɠil verse des larmes et le cƓur est chagrinĂ©; mais nous ne disons que ce qui plaĂźt Ă  notre Seigneur point de contestation devant la volontĂ© divine. O 'IbrĂąhĂźm, par Dieu, nous sommes affligĂ©s d'ĂȘtre sĂ©parĂ©s de toi!". Quel Ă©tait le comportement du sceau des prophĂštes Mohamed, paix et salut sur lui, avec ses proches et ceux qui le croisait ? C’est un sujet si large tant il Ă©tait en contact avec Ă©normĂ©ment de personnes dans sa vie conjugale, sociale, et politique, qu’un seul article ne saurait englober dans les moindres dĂ©tails le superbe caractĂšre qu’il avait. Ce sont les traits d’un comportement qu’Allah Lui-MĂȘme qualifiĂ© de “grandiose” dans le verset de la sourate. Des nobles aspects de son comportement unique nous allons Ă©numĂ©rer des actes aimĂ©s de lui et des habitudes qui pourront sembler ĂȘtre des gĂ©nĂ©ralitĂ©s pour certaines personnes mais qui resteront Ă  jamais des objectifs de vie Ă  atteindre pour toute une communautĂ©. Que chacun de vous lise ces quelques lignes, en se posant quelques questions. Que celles qui reviennent le plus parmi vos interrogations soient par exemple Est-ce que je fais pareil par amour pour lui ?Est-ce que j’essaie de lui ressembler ?Est-ce qu’il y a quelque chose que je peux modifier en moi pour atteindre ce haut niveau de comportement ? Nous sommes d’accord, le prophĂšte, que la paix et le salut d’Allah soient sur lui, Ă©tait le sceau des prophĂštes, d’une constitution parfaite car lavĂ© de tous dĂ©fauts humains. C’est un fait mais son amour pour nous alors qu’il ne nous a pas encore vus ne vaut-il pas la peine d’essayer de lui ressembler ? En effet, d’aprĂšs Anas Ibn Malik, qu’Allah l’agrĂ©e, le prophĂšte Mohamed, paix et salut sur lui, a dit J’aurais aimĂ© rencontrer mes frĂšres ! » Les compagnons lui demandĂšrent Ne sommes-nous pas tes frĂšres ? » Et il, paix et salut sur lui rĂ©pondit Vous ĂȘtes mes Compagnons et mes frĂšres sont ceux qui croiront en moi sans m’avoir jamais vu ». RapportĂ© par Ahmed Voici la liste de caractĂšres pour nous inspirer de lui, paix et salut sur lui. 65 traits de comportements gĂ©nĂ©raux du prophĂšte Mohamed Il Ă©tait la meilleure personne ayant foulĂ© la Terre et la plus facile Ă  vivre. Il ne fronçait jamais les sourcils et ne montrait jamais des signes d’agacementSon rire Ă©tait plus un sourire qu’un rireIl ne se faisait jamais servirIl ne mangeait jamais rien sans partager avec quelqu’unIl ne rabaissait ni ne blessait personneIl Ă©tait au service des autresIl se portait toujours volontaire pour effectuer les tĂąches que tout le monde refusaitIl ne faisait jamais de reproches pourquoi as-tu ou n’as-tu pas
?Il ne refusait jamais ce qu’on lui demandait tant que cela ne transgressait pas les Lois d’Allah Une petite fille le tirait par la main sans lui dire oĂč elle voulait le conduire, il la suivait jusqu’à sa satisfaction et revenait sur ses pas quand elle avait fini. Une femme le tirait par le pan de son vĂȘtement pour lui poser une question Ă  l’écart ?car il ne touchait jamais les femmes qui lui Ă©taient interdites il se laissait tirer, rĂ©pondait et revenait. Paix et salut sur lui !Il Ă©tait le plus gĂ©nĂ©reux de tous notamment pendant le mois de RamadanSi un pauvre lui demandait quelque chose il la lui donnait et s’il n’avait rien Ă  donner, il lui demandait de l’attendre et revenait avec quelque Il Ă©tait doux et tolĂ©rant avec les enfantsIl fermait les yeux sur les dĂ©fauts et ce qui dĂ©plaisait ou l’agaçaitIl ne se mettait en colĂšre que pour les droits d’Allah et jamais les siensIl Ă©tait le plus humble dans sa maniĂšre de parler, de marcher, de s’asseoirSon regard Ă©tait toujours plus tournĂ© vers le sol que le cielIl Ă©tait pudiqueLorsqu’il se tournait il le faisait de tout son corps et pas seulement qu’avec son visage car c’est un signe d’arrogance et d’orgueilIl Ă©tait toujours pensif, et rĂ©flĂ©chissait beaucoupIl gardait de longs moments le silenceIl ne parlait que pour dire des choses utiles ou mĂ©ritoires ou pour amĂ©liorer l’état d’une personne, d’une chose. Juste des paroles qui peuvent apporter une rĂ©compense d’Allah, comme nous le rappelle son Hadith Tradition prophĂ©tique “Dis du bien ou garde le silence.”Il Ă©tait le premier Ă  saluer quand il rencontrait quelqu’unIl ne lĂąchait pas la main de quelqu’un avant qu’il ne la lui lĂąche aprĂšs un salutIl ne se moquait jamais de personneIl ne s’affalait pas en s’asseyant mais gardait sa dignitĂ©Le dhikr, la mention d’Allah, ne quittait pas sa bouche, en se levant ou en s’asseyant il mentionnait AllahIl parlait de maniĂšre concise et prĂ©cise, toujours avec un but prĂ©cisRien de la Douniya de la vie mondaine ne l’énervait ou l’insupportait tant elle ne valait rien Ă  ses yeuxIl se montrait extrĂȘmement reconnaissant mĂȘme face Ă  un mimine bienfait, ou une minuscule faveur Il ne parlait jamais brusquement, nerveusement Il ne faisait l’éloge de personne, n’était jamais vulgaire, et ne mĂ©disait jamais sur qui que ce soitIl faisait ressentir Ă  Ses Compagnons qu’ils Ă©taient les plus chers Ă  ses yeuxPlus un mal Ă©tait grand plus le bien qu’il rendait Ă©tait encore plus grandIl faisait comme s’il ne voyait pas les dĂ©fauts des autres 36. Il faisait passer les besoins avant les siens mĂȘme lorsque les siens Ă©taient plus urgents 37. Il honorait et s’occupait des orphelins 38. Il donnait de ce qu’il aimait le plus 39. Il honorait les amis de son Ă©pouse dĂ©funte et leur envoyait des cadeaux 40. Il honorait ses voisins 41. Il rĂ©pandait le bonheur et les sourires autour de lui 42. Il priait en bien pour ses ennemis dans l’espoir que leur descendance devienne musulmane 43. Il Ă©tait toujours optimiste et ne faisait jamais dĂ©sespĂ©rer personne 44. Il s’était Ă©cartĂ© de trois choses les polĂ©miques, l’abondance ou l’abus de quoi que ce soit, et e ce qui ne le regardait pas 45. Il ne cherchait jamais Ă  connaĂźtre la vie privĂ©e des gens 46. Il s’étonnait quand ses compagnons s’étonnaient 47. Il riait quand ses compagnons riaient 48. Quand un Ă©tranger Ă©tait parmi eux, il le faisait se sentir comme un membre d’entre eux 49. Il n’interrompait jamais quelqu’un qui parlait, peu importe son temps de parole 50. Il n’acceptait pas les Ă©loges 51. Il ne faisait rien sans mentionner Allah 52. Il ne se rĂ©servait jamais de place spĂ©cifique et s’asseyait lĂ  oĂč il y avait une place de libre 53. Il se mĂȘlait aux gens et se confondait parmi eux, mĂȘme pour enseigner quelque chose Ă  tel point que si quelqu’un arrivait de loin il devait demander lequel d’entre eux Ă©tait Mohamed 54. En sa compagnie, chacun pensait ĂȘtre son prĂ©fĂ©rĂ© tant il prenait soin de chacun 55. Il saluait ses compagnons avec la formule musulmane de salut “as Salam alikoum” mĂȘme s’ils se retrouvaient aprĂšs avoir Ă©tĂ© sĂ©parĂ©s par un arbre 56. Il ne rĂ©servait son indexe que pour le Tachahoud de la priĂšre et ne pointait donc personne du doigt. Il prĂ©fĂ©rait plutĂŽt indiquer quoi que ce soit de sa pleine main droite 57. Quand il s’étonnait il retournait ses deux paumes de mains vers le ciel 58. Il ne disait jamais “Ouff” et ne soupirait jamais d’agacement 59. Il ne se posait jamais pour se reposer ou profiter du temps libre car il Ă©tait soit au service de sa famille, soit actif au service de sa communautĂ©, soit en adoration 60. Il rĂ©pondait “labbayk” lorsque un membre de sa famille ou un de ses compagnons l’appelait. Et c’était lĂ  un signe d’humilitĂ© 61. Lorsqu’il voyait quelqu’un Ă©nervĂ© il demandait “pourquoi son front est-il plissĂ© ?” 62. Il donnait des conseils doux et bienveillants en s’adaptant Ă  chaque personne qui Ă©tait en face de lui 63. Il faisait savoir Ă  sa famille ou Ă  ses compagnons qu’il les aimait 64. Il Ă©tait trĂšs attentif aux petits dĂ©tails dans les Ă©motions de ses proches 65. DĂšs qu’un Ă©vĂ©nement le troublait il accourait en priĂšres Le plus noble des prophĂštes d’Allah, que la paix et le salut du Tout MisĂ©ricordieux soient sur lui, nous a laissĂ© un code de conduite pour nous guider durant toute notre vie si seulement nous lui accordions plus de temps. L’aimer est une chose, prier sur lui avec les formules de salutations que le Seigneur nous a demandĂ© d’employer et que lui-mĂȘme nous a appris Ă  dire est un grand bienfait mais quand est-il de notre volontĂ© Ă  nous surpasser pour nous rapprocher de ce qu’il nous a enseignĂ© ? Ces rappels sur le comportement de notre noble prophĂšte Mohamed, salla Allah alyhi wa salam, doivent nous servir de fil conducteur toute notre vie dans l’espoir de faire partie des personnes dont il sera fier le Jour de la RĂ©surrection. Qu’Allah nous accorde d’en faire partie Amin. Vous avez aimĂ© ce rappel ? Partagez le autour pour que se propage l’amour du prophĂšte, sallaLah alayi wa salam ! Source TirĂ©s de recueil de hadiths Et Omar Abd Al Kafi Gandhi, Georges Bernard Shaw, Le professeur Rao, Annie Besant et d’autres ont fait des tĂ©moignages sur notre prophĂšte Mohamed paix et salut sur lui . Gandhi Je suis dĂ©sormais plus que jamais convaincu que ce n’était pas l’épĂ©e qui crĂ©ait une place pour l’Islam dans le cƓur de ceux qui cherchaient une direction Ă  leur vie. C’était cette grande humilitĂ©, cet altruisme du prophĂšte, l’égard scrupuleux envers ses engagements, sa dĂ©votion intense Ă  ses amis et adeptes, son intrĂ©piditĂ©, son courage, sa confiance absolue en Dieu et en sa propre mission. » Georges Bernard Shaw Si un homme comme Mohammed gouvernait le monde, il parviendrait Ă  rĂ©soudre ses problĂšmes et Ă  lui assurer la paix et le bonheur dont il a besoin » J’ai Ă©tudiĂ©-le merveilleux homme- et Ă  mon avis, loin d’ĂȘtre un AntĂ©Christ, il mĂ©rite le titre de sauveur de l’humanitĂ©. » Le professeur Rao Le monde a vu en la personne du prophĂšte de l’Islam, le plus rare phĂ©nomĂšne sur terre, Ă©voluant en chair et en os » Annie Besant Il est impossible, pour quelqu’un qui Ă©tudie la vie et le caractĂšre du grand ProphĂšte d’Arabie, pour quelqu’un qui sait comment il enseignait et de quelle façon il vivait, d’avoir d’autre sentiment que le respect pour ce prophĂšte prodigieux, l’un des grands messagers de l’Etre SuprĂȘme. MĂȘme si mes discours contiennent bien des choses qui sont familiĂšres Ă  beaucoup d’entre vous, chaque fois que moi-mĂȘme je les relis, je sens monter en moi une nouvelle vague d’admiration, un nouveau sentiment de rĂ©vĂ©rence, pour ce prodigieux grand maĂźtre arabe » Montgomery La façon dont il accepta les persĂ©cutions dues Ă  sa foi, la haute moralitĂ© des hommes qui vĂ©curent Ă  ses cĂŽtĂ©s et qui le prirent pour guide, la grandeur de son Ɠuvre ultime, tout cela ne fait que dĂ©montrer son intĂ©gritĂ© fondamentale. La supposition selon laquelle Mohammad serait un imposteur soulĂšve plus de problĂšmes qu’elle n’en rĂ©sout. Et pourtant aucune des grandes figures de l’histoire n’est si peu apprĂ©ciĂ©e en Occident que le ProphĂšte Mohammad » Alphonse de LAMARTINE Philosophe, orateur, apĂŽtre, lĂ©gislateur, guerrier, conquĂ©rant d’ idĂ©es, restaurateur de l’ esprit humain, rĂ©vĂ©lateur de dogmes rationnels d’ un culte sans images, fondateur de vingt empires terrestres et d’ un empire spirituel, voilĂ  Mahomet ! A toutes les Ă©chelles oĂč l’ on mesure la grandeur humaine, quel homme fut plus grand ?» Bosworth Smith Jamais homme ne se proposa volontairement ou ionvolontairement un but plus sublime, puisque ce but Ă©tait surhumain saper les superstitions interposĂ©es entre la CrĂ©ature et le CrĂ©ateur, rendre Dieu Ă  l’ homme et l’ homme Ă  Dieu, restaurer l’ idĂ©e rationnelle et sainte de la divinitĂ© dans ce chaos de dieux matĂ©riels et dĂ©figurĂ©s de l’ idolatrie. Jamais homme , n’ entreprit, avec si faibles moyens, une oeuvre si demesurĂ©e aux forces humaines, puisqu il n’ a eu dans la conception et dans l’ execution d’ un grand dessein, d’ autre instrument que lui-mĂȘme, et d’ autres auxiliaires qu’ une poignĂ©e de barbare dans un coin du jamais homme n’ accomplit en moins de temps une si immense et si durable rĂ©volution dans le monde, puisque, pas plus de deux dĂ©cennies aprĂšs sa prĂ©dication, l’ islamisme prĂȘchĂ© et armĂ© rĂ©gnait sur les trois Arabies conquĂ©rait Ă  l’ unitĂ© de Dieu la Perse, le Khorasan, la Transoxiane, l’ inde occidentale, la Syrie, l’ Egypte, l’ Ethiopie, tout le continent connu de l’ Afrique septentrionale, plusieurs des Ăźles de la mediterranĂ©e, l’ Espagne et une partie de la Gaule. Si la grandeur du dessein, la petitesse des moyens, et l’ immensitĂ© du rĂ©sultat sont les trois mesures du gĂ©nie de l’ homme, qui osera comparer humainement un grand homme de l’ histoire moderne a mohammad ? Les plus fameux n’ ont remuĂ© que des armes, des lois, des empires; ils n’ ont fondĂ© quand ils ont fondĂ© quelque chose que des puissances materielles Ă©croulĂ©es souvent avant eux. Celui-lĂ  a remuĂ© des armĂ©es, des legislations des empires, des dynasties, des millions d’ hommes sur un tiers du globe habitĂ©; mais il a remuĂ© de plus des autels, des dieux, des religions, des idĂ©es, des croyances, des Ăąmes; il a fondĂ© sur un livre dont chaque lettre est devenue loi une nationalitĂ© musulmane, la haine des faux dieux, et la passion du Dieu un et immateriel. Ce patriootisme, vengeur des profanations du ciel, fut la vertu des enfants de Mohammad la conquĂȘte du tiers de la terre Ă  son dogme fut son miracle, ou plutĂŽt ce ne fut pas le miracle d’ un homme, ce fut celui de la raison.» Il Ă©tait CĂ©sar et le pape rĂ©unis en un seul ĂȘtre; mais il Ă©tait le Pape sans avoir les prĂ©tentions du Pape, et CĂ©sar sans avoir les lĂ©gions de CĂ©sar Sans armĂ©e, sans garde du corps, sans palais et sans revenu fixe; s’il y a un homme qui a le droit de dire qu’il rĂšgne par la volontĂ© divine, se serait Mohammad, puisqu’il a tout le pouvoir sans avoir les instruments ni les supports » Thomas Carlyle Le mensonge façonnĂ© avec de bonnes intentions destinĂ©es Ă  cet homme Mohammed sws ne dĂ©shonore que nous, Une grande Ăąme silencieuse; il Ă©tait de ceux qui ne peuvent ĂȘtre autrement que sincĂšres et convaincus, et que la nature elle-mĂȘme a crĂ©e sincĂšres. Alors que d’autres se complaisent dans des formules et des ouĂŻ-dire, contents de leur sort, cet homme ne pouvait se soustraire aux formules. Il Ă©tait seul avec sa propre conscience et la rĂ©alitĂ© des choses ,Une telle sincĂ©ritĂ©, ainsi qu’on veut bien la nommer, possĂšde en rĂ©alitĂ© quelque chose de divin. Le discours d’un tel homme est semblable Ă  la voix qui Ă©mane du coeur-mĂȘme de la nature. Les hommes Ă©coutent et doivent Ă©couter ce discours mieux que tout autre, Le reste n’est que futilitĂ© en comparaison. » Edward Gibbon Ce n’est pas la propagation, mais la permanence de sa religion qui mĂ©rite notre Ă©merveillement ; la mĂȘme impression, pure et parfaite, qu’il laissa Ă  la Mecque et Ă  MĂ©dine, se retrouve, aprĂšs douze siĂšcles, chez les Indiens, les Africains et les Turcs, prosĂ©lytes du Coran
 Les musulmans ont su rĂ©sister, uniformĂ©ment, Ă  la tension de rĂ©duire l’objet de leur foi et de leur dĂ©votion au niveau des sens et de l’imagination de l’homme. Je crois en Un seul Dieu et en Muhammad, son prophĂšte » ; ceci enferme la profession de Foi de l’Islam, de façon simple et invariable. L’image intellectuelle de la DivinitĂ© ne s’est jamais vue dĂ©gradĂ©e par une idole, quelle qu’elle soit; les hommages rendus au prophĂšte n’ont jamais franchi la mesure de la vertu humaine ; ses prĂ©ceptes vivants ont restreint la gratitude de ses disciples dans les limites de la raison et de la religion. » Michael H. Hart Certains lecteurs seront peut-ĂȘtre Ă©tonnĂ©s de me voir placer Muhammad en tĂȘte des personnalitĂ©s ayant exercĂ© le plus d’influence en ce monde, et d’autres contesteront probablement mon choix. Cependant, Muhammad est le seul homme au monde qui ait rĂ©ussi par excellence sur les plans religieux et sĂ©culier. » ” Quiconque ayant Ă©tudiĂ© la vie et la personnalitĂ© du grand prophĂšte d’Arabie ne peut que ressentir de la vĂ©nĂ©ration pour cet Ă©minent prophĂšte” Annie BESANT historienne- La vie et les enseignements de Mahomet 1932. AprĂ©s avoir analysĂ© les personnalitĂ©s les plus influentes de l’histoire, M. HART plaça au premier rang Mahomet ” la raison en est qu’il est le seul homme a avoir menĂ© Ă  bien son oeuvre avec succĂšs tant sur le plan religieux que celui de la politique” M. HART astronome, mathĂ©maticien et historien - Les 100 personnes les plus influentes de l’histoire 1981. “Nous pouvons discerner 3 dons importants que Mahomet a reçu. Il a Ă©tĂ© dotĂ© d’une facultĂ© spĂ©ciale de voir l’avenir, il fut un homme d’état plein de sagesse et il fut un administrateur plein de tact et d’habiletĂ©. Plus on rĂ©flĂ©chit Ă  l’histoire de Mahomet, plus on est stupĂ©fait de la grandeur d’une telle oeuvre” W. MONTGOMERY WATT historien- Mahomet Ă  MĂ©dine 1978 “Mahomet Ă©tait rĂ©ellement un personnage historique. Mahomet nous apparaĂźt comme un homme doux, sensible, fidĂšle, exempt de haine. Ses affections Ă©taient sincĂšres, son caractĂšre, en gĂ©nĂ©ral porte Ă  la bienveillance” Ernest RENAN Ă©crivain - Ă©tude d’histoire religieuse ” Ce fut trĂ©s certainement un trĂ©s grand homme qui forma de grands hommes. Il joua le plus grand rĂŽle qu’on puisse jouer sur la terre aux yeux du commun des hommes” VOLTAIRE philosophe Essai sur les moeurs ” Et c’est une oeuvre immense, que Mahomet a accomplie, par le seul concept de l’unique, il a soumis l’univers entier” GOETHE philosophe - Divan ouest oriental ” Fondateur de 20 empires terrestres et d’un empire spirituel, voilĂ  Mahomet! A toutes les Ă©chelles oĂč l’on mesure la grandeur humaine, quel homme fut plus grand? Alphonse de LAMARTINE Ă©crivain- Les grands hommes de l’orient 1985 Comments comments URL courte

le prophete mohamed paix et salut sur lui