Rienqu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule rĂ©ponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'Ă©tais certain cette fois Titre: Rien qu'une larme Paroles : Michel Jourdan Musique : Brand Moshe ----- C F Rien qu'une larme dans tes yeux G C C'est toujours ta seule rĂ©ponse C F Quand je te dis qu'il vaudrait mieux G C Ne plus se revoir nous deux E Am J'Ă©tais certain cette fois E C Que tu me retiendrais E Am On se trompe quelques fois F G Une larme a tout changĂ© Rien qu'une Laversion karaokĂ© sans guide vocal est disponible sur www.karafun.fr. Cet enregistrement est une reprise de Rien qu'une larme rendu cĂ©lĂšbre par Mike Brant - Parolesde Rien Qu'une Larme Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule rĂ©ponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux. J'Ă©tais certain cette fois Que rien ne me retiendrait Ont se trompe quelquefois Une larme a tout changĂ© Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je rĂ©alise Je rĂ©alise que de nous deux C'est moi le plus Rienqu'une larme dans tes yeux, C'est toujours ta seule rĂ©ponse, Quand je te dis qu'il vaudrait mieux, Ne plus se revoir nous deux J'Ă©tais certain cette fois Que rien ne me retiendrait On se trompe quelques fois Une larme a tout changĂ© 0oA2. Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret ... Voir le deal € MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RP 3 participantsAuteurMessageAlice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 111 Toujours aller de l’avant
 C’est Ă  la fois une philosophie et une raison d’ĂȘtre. Je ne saurais vous dire pourquoi, ni comment tout ça est arrivĂ© mais c’est arrivĂ©. Quand j’y repense, j’en aie des frissons. Il fallait que je fasse le point, que j’aille de l’avant, que j’imagine ma vie autrement qu’à travers ses yeux. Je ne saurais dire pourquoi, mais c’est ainsi
 Ma vie ne se rĂ©sume qu’à ça, qu’à ce son qui rĂ©sonne entre six cordes, qu’à des paroles susurrer par le passé  Par des photos, des images qui bougent, qui me sourient, qui me dĂ©prime
 »La plume s’était arrĂȘtĂ©e. Le bruit du frottement sur le bout de parchemin s’était stoppĂ© net, faisait place Ă  la froideur de la nuit, Ă  ce silence qu’Alice redoutait tant. La pluie se baladait le long de la fenĂȘtre, les quelques bougies allumĂ©es s’étaient presque Ă©teintes, et le crĂ©pitement du feu ne faisait plus grande impression. La jeune demoiselle contemplait la salle commune de ses grands yeux gris, cherchant un dĂ©tail qui pourrait l’étonner ; mais elle la connaissait par cƓur. Ses moindres coins et recoins, tout ça Ă©tait devenu banal. Pucky avait trouvĂ© le sommeil aux pieds de la jeune Alice, l’air de rien, il s’était endormit paisiblement, Ă©mettant des ronronnements qu’on aurait pu entendre Ă  des kilomĂštres de lĂ . La Lune Ă©tait Ă©carlate, telle une peinture encore fraĂźche qu’on n’osait pas toucher, de peur de tout gĂącher
Ce tableau Ă©phĂ©mĂšre qui est la vie, ce tableau qu’on envisage, qu’on dĂ©visage et puis qu’on jette, parce qu’il est dĂ©modé  C’est ça, le bonheur quelque chose qu’on jette, parce qu’il est dĂ©passĂ©. Alice poussa un long soupir. Elle Ă©tait donc la seule Ă  cette heure ci ? Pourtant, habituellement, les Ă©lĂšves restaient Ă©veillĂ©s jusqu’à tard le soir
 Oui, elle ne comprenait plus rien, Ă  croire qu’elle Ă©tait faites pour tout tenir en Ă©chec. Elle rapprocha soudain sa plume vers son petit bout de parchemin, le trempant dans l’encrier sombre qui Ă©tait dĂ©licatement posĂ© sur la table basse. D’un geste brusque, elle nota un mot
un seul. Hate » BAM ! Son cƓur venait de dĂ©crocher, laissant les larmes couler le long de ses joues blanchĂątres. La jeune demoiselle, Ă  l’apparence d’une poupĂ©e en porcelaine, rapprocha dĂ©licatement ses mains de son doux visage. Elle entendait milles et une voix qui trottinaient dans sa tĂȘte
Des reproches, que ça, partout, et elles ne cessaient d’accroĂźtre. La jeune Alice serra les poings, s’empĂȘchant de crier, mais la tentation Ă©tait trĂšs forte, trop forte mĂȘme
 Mais elle ne devait rien dire, faire semblant, comme tous les jours de l’annĂ©e. Etait-ce si difficile ? Non, bien sĂ»r que non ! Elle Ă©tait habituĂ©e Ă  ne rien dire, Ă  garder tout ça en secret. Son cƓur Ă©tait fermĂ© Ă  doubles tours, oui, c’était connut
Alors pourquoi craquĂ© lĂ , maintenant ? Pourquoi tant de solitude ? Et pourquoi pleurait-elle ? Elle-mĂȘme ne savait pas pourquoi
sans doute le stress. Et quel stress. Ses mains s’étaient mises Ă  trembler d’avantage, mais ça ne l’empĂȘcha pas de reprendre son parchemin Ă  prĂ©sent plein de tĂąches d’encres. Sa plume en main, elle continua, ses larmes perlant toujours autant le long de son visage
 Le fort d’un ĂȘtre, c’est de savoir souffrir
sans ça, il est vouĂ© Ă  l’échec complet. Je ne suis sĂ»rement pas assez forte, mais quand le jour viendra, je dirais tout
mais pour le moment, le jour n’est pas encore venu. »Ses yeux d’un gris Ă©blouissant se remplissaient d’eau. De l’eau qu’on aurait voulut prendre d’un geste, pour qu’elle cesse de pleurer sur l’état du monde, pour qu’elle cesse enfin de souffrir en silence. Mais rien n’y faisait, pourtant on la voyait sourire en mĂȘme temps. C’était de l’ironie
 Stop. Le silence revint alors, plus rien n’aurait pu retenir son attention Ă  part le crĂ©pitement du feu. Plus rien, mĂȘme pas ces voix qui va et venaient
mĂȘme pas ce bruit Ă©trange qui venait de s’interposer entre le ronronnement de Pucky et le scintillement des bougies. En fait, quand on Ă©coutait de plus prĂšs, c’était des bruits de pas. Alice retint alors son souffle, essayant tant bien que mal d’arrĂȘter ses larmes
elle se mit Ă  empoigner le bout de parchemin, puis le froissa dans tous les sens. S’en Ă©tait assez ! D’un geste quasi-immĂ©diat, elle balança la boule » Ă  l’autre bout de la piĂšce
Son coeur battait la chamade, ses yeux Ă©taient fermer, ne voulant pas voir la rĂ©alitĂ© en face tout le monde change. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 159 Natalia restait allongĂ©e sur son lit, incapable de s’endormir, les jambes et les bras croisĂ©s, elle restaient lĂ  inerte, a rĂ©flĂ©chir, ou plutĂŽt a rĂȘver, comme a son habitude. Elle ferma ses yeux quelques instants, faisant disparaĂźtre ses iris bleu, puis les rouvrit calmement, dĂ©cidĂ©ment, elle ne dormirais pas cette nuit. Depuis quelques temps la bleue et argent, Ă©tait prise d’insomnie inexplicable. Elle n’en parlait bien Ă©videment a personne, car elle n’était pas du genre a ce confier. HabillĂ©e d’un short et d’un dĂ©bardeur, par-dessus lesquels, elle enfila une chemise trop grande pour elle, Natalia fit glisser ses pieds sur le cĂŽtĂ©. Au contact de sa peau sur le parquet froid, un frisson lui parcoura le corps tout entier. DĂ©cidĂ©ment, elle n’aimait vraiment pas l’hiver, c’était bien trop froid, pour la jeune Ă©tudiante de Poudlard qui au contraire, aime les beaux jours. Silence. Elle se leva en silence, se dirigeant a pas feutrĂ©s vers la salle de bain. Le dortoir plongĂ© dans l’obscuritĂ©, elle entendait la respiration lente des autres filles avec qui elle le partageait. Lorsqu’elle arriva Ă  l’endroit voulu, elle sortit sa baguette et murmura un vague Lumos » a peine audible. Quoi qu’il en soit, il apparu au bout de sa baguette, une petite lumiĂšre verte, qui l’éclaira assez, pour que Natalia puisse s’emparer du premier Ă©lastique qu’elle trouva, pour ainsi, s’attacher les cheveux en une queue de cheval haute, faite a la va vite. Une mĂšche retombant devant ses yeux, elle la cala derriĂšre son oreille droite, puis se dirigeant a prĂ©sent vers les escaliers, elle mettait sa baguette en direction du sol, pour Ă©viter de marcher sur quelque chose qui ferait du bruit, ou bien qui pourrait la faire tomber. Prenant ensuite la direction de l’escalier en colimaçon, elle entendit toute fois du bruit en bas, et s’arrĂȘta Ă  quelques marches de la fin de celui-ci. D’oĂč elle Ă©tait, elle ne voyait pas encore qui c’était, et si elle tombait sur la prĂ©fĂšte, elle sentait a trois kilomĂštres a la ronde, la leçon de morale a laquelle elle aurait le droit. Silence. Seulement un grattement de plume. Zut. Si cette personne Ă©tait toute seule, elle n’allait pas parler, Ă  moins qu’elle soit folle. Elle s’étira alors du mieux qu’elle pu pour sortir sa tĂȘte et regarder qui s’était. Manquant de tomber, elle provoqua un bruit d’enfer. Une grimace sur son visage, elle releva son regard vers les escaliers, peut ĂȘtre que certains descendrait voir ce qu’il se passait. Puis, elle s’intĂ©ressa enfin Ă  la personne qui Ă©tait prĂ©sente dans la salle A la vue de son amie, Natalia ne pu alors rĂ©primer un immense sourire. Alice. Alice. Ce seul mot, procurait une euphorie en Natalia. Elle. Seulement elle. C’était une longue histoire, une longue amitiĂ©, qui remontait a prĂ©sent Ă  de nombreuses annĂ©es. Effaçant son sourire doucement, elle s’approcha de son amie, la serrant dans ses bras quelques secondes, elle alla s’asseoir dans le fauteuil le plus prĂšs de la cheminĂ©e. Etant une grosse frileuse, elle sortit sa baguette, et le fit battre du tonnerre Ă  l’aide d’un sortilĂšge basique. Se recroquevillant sur le fauteuil, elle entoura ses jambes avec ses bras, puis reposa son regard bleu flamboyant sur son amie, elle se demandait bien ce qu’elle faisait a une heure pareille a Ă©crire dans la salle commune, alors qu’elle aurait pu se faire prendre a tout moment. Mais elle reconnaissait lĂ , le tempĂ©rament d’Alice, si semblable au sien. Toujours prendre des risques, sinon ce n’est pas drĂŽle. Silence. Elle la regarda encore quelque seconde avant de prendre la parole. Alice » Elle marqua une pause. Tu peux me dire ce que tu fabriques ? »Un sourire amusĂ© sur les lĂšvres, la jeune femme connaissait dĂ©jĂ  la rĂ©ponse, elle Ă©crivait ses pensĂ©es, comme toujours. Eternelle rĂȘveuse. Silence. Et si on s’enfuyait toutes les deux dans un autre monde, notre monde, et imagine qu’il serait comme on le voudrait. Oui. C’était gĂ©nĂ©ralement les sujets de conversations des deux Serdaigle. Silence. Elle reporta une derniĂšre fois son regard sur son amie, avant de prendre sa baguette de l’agiter faiblement, et des rubans sortirent alors de celle-ci pour former un seul et unique mot. Dream. » Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 321 Brrrr. On s’les gĂšle. Allez, j’me casse. »Nuit. Parc. Atreus. LĂ  encore, ces trois mots rĂ©sumaient bien la situation. L’Irlandais n’avait pu s’empĂȘcher de faire une petite escapade nocturne. Il y Ă©tait accoutumĂ© mais, comme on dit souvent, On ne change pas les vieilles habitudes ». Ses fonctions de prĂ©fet ? Boaf. Pas une raison pour respecter Ă  la lettre le rĂšglement. Si ? Tant silhouette du jeune homme, non reconnaissable dans l’obscuritĂ©, bougea. Elle se mit en marche vers le chĂąteau, prenant garde au sol traĂźtre du parc. Pour un observateur attentif et proche, on pouvait apercevoir un objet dĂ©passant de la ceinture du Serdaigle. Une lame. EnsanglantĂ©. Pas besoin de vous rappeler ce qu’il fait avec. De toute façon, on le devine facilement. Le jeune homme continua son chemin, Ă©clairant son passage du mince faisceau que lui procurait sa baguette. C’était une nuit claire et fraĂźche de Septembre. Le silence de la nuit Ă©tait agrĂ©able. Reposant. MĂȘme le vent se faisait discret. Seul le lĂ©ger bruit Ă©touffĂ© des pas de l’étudiant se faisait entendre. Mais, fatiguĂ© de cet absence de bruit, un hibou lança un hululement sonore qui fit sursauter la silhouette. Tssss. SaletĂ© de volatiles nocturnes. L’élĂšve reprit sa route.+ + + + + + + +Se faisant discret quand il le voulait grĂące Ă  son don, Atreus ne tarda pas Ă  arriver sans encombre devant l’escalier qui menait Ă  sa salle commune. Donnant sans hĂ©sitation la rĂ©ponse Ă  la question habituel du Gardien, un Aigle en bronze, le jeune homme s’engouffra avec joie dans la salle, emmitouflĂ© dans une veste grise. Le feu crĂ©pitait avec tant ardeur qu’il s’en Ă©tonna premiĂšrement. C’est alors qu’il aperçu les deux silhouettes assises auprĂšs du foyer. Elles s’étaient retournaient Ă  son entrĂ©e et l’observaient Ă  prĂ©sent. L’Irlandais n’y prit pas garde dans l’instant et entreprit de se rapprocher de l’ñtre, car il grelottait de froid. Ne pouvant que s’approcher des deux silhouettes, ils se tourna vers elle. C’étaient deux jeunes femmes. Parmi-elles, se trouvait Junie. De mĂȘme annĂ©e que lui, Atreus s’était liĂ© d’amitiĂ© avec cette jeune femme dĂšs le dĂ©but de sa scolaritĂ©. MalgrĂ© leurs caractĂšres diffĂšrent remarquez, Atreus est diffĂ©rent de la majoritĂ© des Serdys, ils s’apprĂ©cient mutuellement. L’autre jeune femme n’était qu’autre que Alice, grande amie de Junie et en SixiĂšme AnnĂ©e. Atreus l’a connaissait bien aussi mais nourrissait moins de liens avec elle. En tout cas, en apercevant leurs visage, le jeune homme eut un sourire. Atreus Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Atreus se laissa tomber sur le divan faisant face Ă  la cheminĂ©e mais proche des deux filles et se mit en devoir de rĂ©chauffer ses membres engourdis par le froid. Il tourna la tĂȘte et observa les deux jeunes le bruit du bois qui craquait se faisait entendre. Les ombres des trois Serdaigles valsaient sur les murs. Atreus. Alice. Junie. Trois Ă©tudiants. Une nuit. VoilĂ  le tableau. DerniĂšre Ă©dition par le Mar 6 Nov 2007 - 1411, Ă©ditĂ© 2 fois Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 1305 Ce sentiment avait disparus en quelques secondes. La peur d’ĂȘtre prise sur le fait, d’ĂȘtre dĂ©couverte
 Junie avait fait son apparition, toujours aussi radieuse. C’était automatique chez Alice quand elle voyait son amie sourire bĂȘtement. Elle dĂ©testait ça, mais ne pouvait s’en empĂȘcher. Ah, si vous saviez
 Si vous saviez comme Junie Ă©tait importante pour la jeune Alice. C’était une amie remarquable, et toutes deux Ă©taient trĂšs semblables. La jeune Brown se dĂ©gagea la gorge, touchant dĂ©licatement ses yeux ; mais ça ne servait Ă  rien de le cacher, Natalia saurait qu’elle avait versĂ© quelques larmes
 C’était ça, leur amitiĂ©. ConnaĂźtre l’autre sur le bout des doigts, savoir ce qu’elle ressent sans mĂȘme lui accorder un regard ; ça c’était la vraie amitiĂ©, celle qu’on voit dans les contes de fĂ©es, celle dont on rĂȘve toute sa vie, celle qu’on a peur d’imaginer
 Alice avait eut de la chance ; elle l’avait trouvĂ©. Ca ne collait pas trop dans son caractĂšre de s’attacher Ă  quelqu’un, mais dans le cas lĂ , elle n’avait pas vraiment eut de mal. La jeune Alice avait rencontrĂ© Junie quelques annĂ©es auparavant, et depuis, elles ne se quittaient plus
 Dans un toussotement lĂ©ger, la Serdaigle Ă©couta la voix de son amie. Ce qu’Alice fabrique ? Hum
Junie le savait au fond, car c’était devenu une coutume » pour la jeune Brown ; Ă©crire. Oh
Eh bien, j’écrivais. »Elle eut une pensĂ©e pour la boule de parchemin qui avait voltigĂ© Ă  l’autre bout de la salle commune. Puis elle Ă©metta un bref soupir, le regard gĂȘnĂ©. C’est vrai, et si Junie lui demandait ce qu’elle avait Ă©crit, qu’aurait-elle Ă  rĂ©pondre Ă  part je sais plus » ? Rien, strictement rien
 Mais cette idĂ©e ne fit que lui traverser l’esprit, trop occupĂ©e Ă  regarder l’élĂšve qui venait d’entrer dans la salle commune. Alice ne s’occupa pas trop de lui, pensant que c’était encore un de ces Ă©lĂšves de TroisiĂšme annĂ©e qui cherchait absolument Ă  se faire remarquer – d’ailleurs, vu le bruit, ce n’était pas Ă©tonnant. Mais elle ne tarda pas Ă  comprendre qu’il ne s’agissait d’en aucun cas d’un troisiĂšme annĂ©e, mais plutĂŽt de Atreus Calgar, le PrĂ©fet. Bon, Alice ne le connaissait pas Ă©normĂ©ment, mais d’aprĂšs Natalia, il en valait la peine
 La jeune Serdaigle lui accorda un sourire ravissant, jusqu’à ce qu’il prenne la parole
 A priori, Junie et lui Ă©tait frigorifiĂ© ; Ă  les voir, Alice ressentit un frisson. Maintenant, ils Ă©taient trois. Ca va, ça va
 » mais elle ne pouvait s’empĂȘcher d’avoir un sourire hypocrite en disant ça, puis elle continua sur sa lancĂ©e 
et toi ? »Pas trĂšs crĂ©dible, sĂ»rement. Mais les mots qu’avaient dessiner Junie avec sa baguette venaient de lui rendre l’espoir. DREAM. Elle avait raison, la vie c’est avant tout vivre ses rĂȘves
 Fallait-il pour autant en oublier le principal ? Rester sur Terre, rester sur Terre » la jeune Serdaigle se l’était dit des milliers de fois. Pourtant, rien ne faisait, elle restait dans sa bulle, n’osant plus regarder la rĂ©alitĂ© en face. Elle fut Ă©coeurĂ©e rien qu’à la pensĂ©e d’ĂȘtre apprĂ©ciĂ©e ». Non, c’était impossible
 Son regard se posa Ă©troitement sur Atreus. Quand elle s’en rendit compte, elle n’osa plus bouger un cil, se contentant d’écouter la mĂ©lodie que produisait le crĂ©pitement du feu
 Puis Junie. Elle Ă©tait toujours lĂ , toujours avec cet air rĂȘveur. Alice se sentit pousser des ailes, et comme avait fait son amie un peu plus tĂŽt, elle prit sa baguette et dessina quelque chose dans l’atmosphĂšre. En forme de vapeur, quelques lettres manuscrites firent leurs apparitions. Friends ». Puis sa pensĂ©e revint pour la boule de parchemin, perdue sans raison dans un coin de la salle commune. Mais il lui Ă©tait impossible de dire la vĂ©ritĂ©, sa vĂ©rité  Pas pour l’instant, en tout cas. Imagines toi dans un monde oĂč il n’y a que nous, oĂč tu as des ailes et oĂč les seuls sentiments qui y rĂšgnent sont l’amour et la joie. Imagines ce monde, et appelles moi quand tu l’as trouvé  Appelles moi quand tu auras pris conscience que ce monde, c’est le Paradis. » James Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2206 PRÉCISION - Normalement vous l'appelez Ian vu qu'il n'aime pas se faire appeler James. Et dĂ©solĂ©, j'ai fait un truc pourri -___- DerniĂšre annĂ©e. Nouvelle annĂ©e. C’était carrĂ©ment une partie de son adolescence qui allait bientĂŽt se terminer. De toute maniĂšre, depuis maintenant presque un an, il Ă©tait majeur dans le monde magique. James avait 17 et dans deux mois, il allait en avoir 18. Oh non, il n’avait pas redoublĂ©. Il avait simplement perdu une annĂ©e pour cause qu’il Ă©tait nĂ© en novembre. Mais ça, ce n’était ni de la faute de ses parents, ni de la sienne. De personne en fait. Et puis. On ne va pas Ă©crire tout un texte sur sa naissance, ce n’est pas important. Ian Ă©tait dans son dortoir. Sa baguette Ă©mettait une petite source de lumiĂšre, baguette qui Ă©tait posĂ©e contre la petite table au cĂŽtĂ© du lit. Elle Ă©tait suffisamment forte pour permettre au jeune homme de lire, assez faible pour ne pas rĂ©veiller le reste des septiĂšmes annĂ©es. Mais il en manquait un. Encore. Atreus Calgar. Depuis le nombre d’annĂ©es qu’ils se connaissaient, Ian commençait Ă  trĂšs bien le connaĂźtre. Ils Ă©taient quand mĂȘme assez proches. Le prĂ©fet Ă©tait probablement parti se promener quelque part dans l’école. Plusieurs fois, il Ă©tait venu, mais pas cette fois. Un petit bouquin avait attirĂ© son attention. Durant l’aprĂšs-midi, il Ă©tait passĂ© faire un tour Ă  la bibliothĂšque, comme Ă  son habitude, mais il Ă©tait tombĂ© sur un petit ouvrage bien particulier. Il n’avait pas de titre. La couverture Ă©tait rouge foncĂ©, et on pouvait y voir une sorte de dessin abstrait sur la couverture. Mais quoi ? C’était impossible Ă  dĂ©chirer, et Ian ne l’avait pas lĂąchĂ© depuis. MĂȘme le texte semblait assez complexe. Il n’était rendu qu’à la cinquiĂšme page et encore il Ă©tait mĂȘme pas certain d’avoir tout saisit. C’était un univers spĂ©cial qu’il devait absolument dĂ©couvrir. Il Ă©tait tellement absorbĂ© qu’il n’avait mĂȘme pas vu un autre Ă©tudiant se levĂ© et venir Ă  cĂŽtĂ© de son lit. Ian. » Ian ? » dit-il un peu plus fort. Hum ? » se contenta de dire Ian sans mĂȘme lever un regard. Qu’est-ce que tu fais ? »Le jeune homme s’arracha difficilement de son livre et posa son regard foncĂ© sur son ''ami''. Car oui, ils se connaissaient quand mĂȘme. Je lis. Ça ne se voit pas ? » Tu peux pas aller lire ailleurs ? La lumiĂšre de ta baguette m’arrive directement dans les yeux. »James arqua un sourcil. Ecnore. S’il voulait dormir, il n’avait qu’à fermer les yeux ou se tourner de l’autre cĂŽtĂ©. Le jeune homme haussa les Ă©paules, et referma doucement le livre, avant de sortir de son lit. En fait, les couvertures n’avaient pas Ă©tĂ© dĂ©fais. Il Ă©tait simplement assis, dos contre son oreiller, qui Ă©tait contre le mur. Il portait une paire de pantalon bien normal noir, avec un t-shirt blanc. À la tombĂ©e de la nuit, il avait enfilĂ© une veste bleu foncĂ© et avait mis le capuchon sur sa tĂȘte. Allez savoir pourquoi. Tout portait Ă  croire qu’il ne s’était pas encore changĂ© pour dormir. Bref. Il attrapa sa baguette qu’il Ă©teignit de façon informulĂ©e et sortit silencieusement du dortoir. Il descendit Ă  son tour les escaliers en colimaçon, et s’arrĂȘta dĂšs qu’il eut enlevĂ© le pied de la derniĂšre il eut une impression de dĂ©jĂ  vu. Trois personnes. Atreus. Junie. Alice. Ce n’était pas la premiĂšre fois qu’ils se retrouvaient tous les quatre dans la salle commune. Tenant sa baguette et son livre avec la mĂȘme main, il eut un petit sourire en coin et s’approcha d’un des fauteuils et s’installa aux cĂŽtĂ©s d’Atreus. Bonsoir Ă  tous. »Toujours le capuchon sur sa tĂȘte, il porta son regard sur son ami, toujours ce petit sourire flotta sur ses lĂšvres. Xavier m’a gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Ce type n'Ă©tait pas tellement apprĂ©ciĂ© d'ailleurs avec tous ses petits caprices. Ce Xavier je-ne-sais-trop-quoi. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2231 Natalia resta silencieuse un instant. Elle savait qu'avant son entrĂ©e Alice avait versĂ©e quelques larmes, mais elle ne lui fit aucune remarque la dessus, elle savait ce qu'Ă©tait la pudeur, et elle mĂȘme detestait qu'on la force a parler, lorsqu'elle ne le faisait pas d'elle mĂȘme. Laissant alors son regard vagabonder sur les flammes dansantes, elle laissa alors le temps qui lui fallait, a Alice, pour s'essuyer les yeux correctement, et ainsi effacer toutes traces de chagrin de son visage. Lorsqu'elle reposa ses yeux bleu sur son ami, elle afficha un sourire, mais celle ci n'eu pas le temps de lancer un nouveau sujet de conversation, que quelque chose provoquait un bruit d'enfer. Instinctivement, Natalia porta son regard vers le dortoir, mais aprĂšs quelque seconde a scruter cet endroit endormit, elle compris, qu'elle s'Ă©tait trompĂ©e et que le bruit ne provenait pas de lĂ . Silence. Il se rapprochait, soudain, elle vu personne d'autre qu'Atreus, arrivĂ©e dans la salle commune, un air joyeux sur le visage. Encore partie en vadrouille, et il avait oser ne pas en parler a Natalia. En mĂȘme temps, il faut dire que lorsqu'on lance la bleue et argent, on n'arrive plus a l'arrĂȘter pas mĂȘme Atreus, James, Alice, ou bien encore Leslie sa soeur jumelle. Non. Personne. Elle le vit alors se rapprochĂ© des deux amies, a son expression cela ne l'Ă©tonnait guĂšre de trouver Alice et Natalia dans la salle commune a cette heure ci, mais en mĂȘme temps au bout de sept ans, il devait s'y ĂȘtre habituer. Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Ca va, ça va
 et toi ? »Natalia ne rĂ©pondit pas tout de suite, elle aimait se faire attendre. Elle vit alors le prĂ©fet de sa maison s'installer dans un fauteui proche du sien, et se rĂ©chauffer grĂące au feu qu'elle avait allumĂ©e quelques minutes a peine auparavant. Puis elle reporta son attention sur Alice. Alors que le mot que Natalia avait tracer, s'ffacer doucement, Alice, elle, en inscrivit un nouveau. c'Ă©tait comme un jeu pour les deux amies, et en mĂȘme temps une façon de s'entrainer pour les sortilĂšges. Elles Ă©taient ce que l'on pouvait qualifer de rĂ©eles sorciĂšres, ne faisant pratiquement rien sans leurs baguette, mĂȘme lacer leurs chaussures. Silence. Se massant doucement le front, elle prit enfin la parole, cassant le silence, bercer par le crĂ©pitement des flammes. Je pĂšte la forme. »L'arrogance de Natalia Ă©tait quelque chose de phĂ©nomĂ©nal, les rĂ©pliques de la bleue et argent cultes. On ne pouvait y Ă©chapper, elle avait toujours le dernier, et surtout, elle avait toujours quelque chose a rĂ©pliquer. Ce qui ne se fit pas attendre. Au regard interrogateur d'Atreus, elle fournit alors trĂšs vite une explication a son sarcasme. J'aime tellement ne pas ĂȘtre conviĂ©es aux virĂ©es nocturnes. Non. SincĂšrement ca m'va droit au coeur. »Fixant Atreus d'un air de dĂ©fi, elle n'eu pas le temps d'entammer une guerre que quelqu'un d'autre faisait son entrĂ©e. Silence. Tournant la tĂȘte, cette fois ci, cela provenait bien des dortoirs. Elle fit alors une lĂ©gĂšre grimace jusqu'a ce qu'elle s'appercoive, que ce n'Ă©tait que James. C'Ă©tait quelqu'un avec qui elle s'Ă©tait rapprochĂ©e dĂšs le dĂ©but de sa scolaritĂ©, et avec qui elle Ă©tait a prĂ©sent Ă©troitement liĂ©es. D'ailleurs, il n'est pas rare qu'elle s'amuse a la titiller en l'appelant James, oĂč alors son jeu favoris est de se faire passer pour Leslie, et que Leslie se fasse passer pour elle. La seule personne qui ai jamais su la reconnaitre, c'est Alice. Mais en mĂȘme Alice, c'est Alice, et elle connait tellement bien Natalia, qu'on comprend qu'elle ne la confonde pas aussi facilement, mĂȘme avec sa soeur jumelle. Silence. Bonsoir Ă  tous. » Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. »Ne me demandez pas ce qu'a Natalia ce soir, elle est dĂ©chainĂ©e. La provocation et l'arrogance sont de mise. Mais en mĂȘme temps, cela fait bientĂŽt sept ans qu'Atreus comme James, supporte le caractĂšre arrogant de la jeune bleue et argent, alors une nuit de plus qu'est ce que c'est ? Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 113 Alice - Ca va, ça va
 et toi ? »Atreus - On fait avec
 » Atreus fit un lĂ©ger sourire Ă  Alice tout en apprĂ©ciant avec douceur la bonne chaleur du feu. Le meilleur moyen pour se rĂ©chauffer tiens. AprĂšs un instant de rĂ©flexion avec sa conscience il rectifia sa pensĂ©e. Non. Le meilleur moyen Ă©tait un bon verre d’alcool. Mais faute d’en avoir dans l’immĂ©diat, c’était l’idĂ©al pour l’instant. Le Serdy fixa alors Junie. Hmmm
 Qu’avait-elle encore ? Elle ne lui avait rien dit jusqu’à prĂ©sent. Elle faisait la gueule ? Ca serait pas la premiĂšre fois. On va dire qu’Atreus Ă©tait accoutumĂ© de ses petites renfrogneriez. Il lui arrivait souvent de dĂ©conner sur ça avec Ian. Tiens. En pensant Ă  lui, il Ă©tait sĂ»rement en train de bouquiner encore. Le jeune homme eut encore un p’tit sourire. Une manie de Ian ? On pourrait dire ça. Mais ça empĂȘchait pas Atreus de l’adorer comme un frĂšre. Tout comme il adorait Junie et son caractĂšre. Et Alice avec sa gentillesse et sa mĂ©lancolie. Junie - Je pĂšte la forme. » Atreus eut un lĂ©ger sursaut et observa Junie. AĂŻe. J’vous avez dit qu’il y avait quelque chose qui clochait. AprĂšs sept ans passĂ© en sa compagnie, j’la connaĂźt comme ma sƓur la Junie. L’Irlandais haussa les sourcils et lui lança un regard interrogateur. Il voyait pas du tout ce qu’il avait fait qui pouvait dĂ©plaire la jeune femme. Junie - J'aime tellement ne pas ĂȘtre conviĂ©es aux virĂ©es nocturnes. Non. SincĂšrement ca m'va droit au coeur. » Et merde. VoilĂ  qu’ça recommence. Comment il avait pu ne pas penser Ă  ça ? Atreus leva les yeux aux ciel tout en se retenant de ne pas rire. Combien de fois n’avait-il pas eu Ă  essuyer les rĂ©primandes de la jeune femme pour une vadrouille nocturne solitaire ? Hum. J’ose mĂȘme plus les compter. Sans rien dire, il retroussa les manches de son pull. Ses bras nus apparurent oĂč se dĂ©marquaient de longues estafilades encore humides de sang. Il les prĂ©senta devant la bleu et argent. Lui rendant son regard de dĂ©fi, Atreus reprit la parole, un peu sĂšchement mais toujours d’un ton cynique. Atreus - T’veux vraiment m’accompagner pour m’voir faire ça ? J’croyais que ça te plaisait pas. » Mais avant qu’aucun des trois Ă©tudiants ne puissent parler, un bruit se fit entendre. Atreus se tourna complĂštement pour faire face Ă  l’escalier des dortoirs, prĂȘt Ă  remballer aussi sec tout Ă©lĂšve qui se serait pointĂ©. Quelques bruits de pas. Et Ian apparut. L’Irlandais esquissa un sourire en voyant son pote se ramener, un Ă©ternel bouquin Ă  la main. Il changera jamais. Ian - Bonsoir Ă  tous. »Junie - Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Atreus ne put s’empĂȘcher d’éclater de rire. Les taquineries de Junie. L’irritation qu’éprouvait Ian Ă  l’évocation de son autre prĂ©nom, James. Fallait dire ce qu’il fallait. Ils lui avaient quand mĂȘme manquer pendant les vacances. Tous. James s’installa aux cĂŽtĂ© de l’Irlandais. Ce dernier se retourna et, ne pouvant s’empĂȘcher de repasser une couche aprĂšs la remarque de la jeune blonde, embrancha sur un ton totalement moqueur. Atreus - Hey. Comment qu’y vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? » Les lĂšvres retroussĂ©es en un sourire complĂštement stupide mais Ă©nervant, Atreus observa la rĂ©action de son ami. Elle allait pas tarder. Et c’était toujours un grand moment de plaisir. Juste avant que Ian ne rĂ©alise les moqueries, il avait eu le temps de dire discrĂštement Ă  Atreus Ian - Xavier m’a gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Tssss. Ce Xavier. Un jour, il allait le cogner celui-lĂ . Toujours Ă  rĂąler, se plaindre, gĂ©mir pour des broutilles. Atreus leva les yeux au ciel avant de lui rĂ©pondre, d’une voix exaspĂ©rĂ©e et lĂ©gĂšrement dur Atreus - P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’mĂȘme coup que l’annĂ©e derniĂšre, j’vais pas pouvoir me retenir
 » Le jeune prĂ©fet lui lança un regard Ă©loquent et complice avant de se laisser aller contre le divan, levant la tĂȘte vers le plafond. Putain. Il se sentait quand mĂȘme bien lĂ . En osmose avec lui-mĂȘme, entourait de ses amis, sous une agrĂ©able chaleur. Tout ce qu’il fallait. Il sentit soudain un objet lui rentrait dans les cĂŽtes. Il baissa les yeux et lança nĂ©gligemment sa lame sur la table posĂ© Ă  quelques pas de lui. Le jeune homme se renversa une fois de plus sur le dossier moelleux. Passeraient-ils encore une nuit blanche Ă  bavarder tout les quatre ? Possible
 Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 1900 HRP - DĂ©solĂ©e du truc merdique...Alice esquissa un sourire complice, regardant de droite Ă  gauche, comme ci elle cherchait quelqu’un. C’était habituel, et s’en en devenait maladif cette sensation
celle d’ĂȘtre de trop, de ne jamais rien dire, ce silence renfermant la plus grande souffrance. Elle regardait ses amis, ne pouvant dire quelque chose ; elle Ă©tait comme paralysĂ©e. A force, elle ne regardait mĂȘme plus autour d’elle, sachant par cƓur ce qui allait se produire car c’était sans cesse le mĂȘme scĂ©nario. Elle restait lĂ , figĂ©e, incapable de penser autrement. Alice en devenait pathĂ©tique
 TrĂšs vite, elle posa la main sur son chat, le caressant avec douceur, mais ne pouvant retirer ses yeux des flammes. Les deux autres parlaient, elle les entendait mais n’écoutait rien. Les seuls mots qui en sortirent Ă©taient virĂ©e nocturne
sans moi
 ». Junie aimait ça, et Alice aussi, mais c’était diffĂ©rent. Junie prenait ça comme un dĂ©fi, ou du moins c’est ce qu’avait toujours penser Alice, alors que la jeune Brown en faisait juste pour
respirer. Oui, la jeune Alice Ă©tait trĂšs loin d’ĂȘtre la fille que l’on croit, oui, trĂšs loin. Ses ongles ornĂ©s de vernis rouge laquĂ© se glissaient dans le pelage de Pucky, faisant des va-et-vient incessants. Elle restait silencieuse, encore et encore, se sentant toujours mal, avec cette boule dans la gorge. Elle Ă©tait incapable de faire le moindre geste, ses yeux d’un gris Ă©tincelant formant une barriĂšre entre son esprit et
le reste. S’en Ă©tait trop, et mĂȘme l’arrivĂ©e de Ian ne changea rien Ă  la donne. Elle lui avait fait un sourire, mais rien de plus. Les trois autres s’étaient remis Ă  parler, d’aprĂšs les moindres parcelles de phrases qu’elle captait, ils titillaient Ian en l’appelant James
il dĂ©testait ça. Ses mains tremblaient peu Ă  peu, et dans sa mystĂ©rieuse quĂȘte de solitude, elle avait trouvĂ© les rĂ©pondes ; elle n’était qu’une moins que rien. Ses amis continuant de parler, Alice se leva, l’air de rien, se dirigeant vers l’autre cĂŽtĂ© de la salle commune. Sa petite taille faisant qu’elle pouvait passĂ© n’importe oĂč, elle se faufila derriĂšre un meuble gigantesque, disparaissant de leur vue. Quelques minutes aprĂšs, elle en ressortit, cet air toujours aussi Alicien », une boule de parchemin dans les mains. La jeune Serdaigle le dĂ©froissa, espĂ©rant qu’ils ne l’avaient pas remarqué de toute façon c’était sĂ»rement le cas. C’est vrai, elle Ă©tait trĂšs discrĂšte, mĂȘme si des fois elle avait l’envie d’hurler JE SUIS LA ! » elle ne faisait rien. Repensant tout Ă  coup aux mots qu’elle avait employĂ©s dans son parchemin, elle se rapprocha du canapĂ© oĂč Ă©tait Junie, s’asseyant Ă  cĂŽtĂ© d’elle. D’une traite, elle reprit sa plume, la trempant dĂ©licatement dans l’encre, puis elle se remit Ă  Ă©crire des mots comme la fin », les autres », diffĂ©rents » ou nulle ». C’était un cercle vicieux, un peu comme dans celui oĂč Ă©tait tombĂ© Atreus et sa lame. Alice n’avait rien dit, ne voulant pas lui faire de leçon de moral, et encore moins lui dire qu’elle ne supportait plus de le voir ainsi. A quoi bon fondre en larmes devant eux ? Alice regarde toi, tu es tellement faible
Stop. Elle continua Ă  Ă©crire, ses iris gris se posant quelques fois sur le visage de ses amis. D’un coup, sans savoir pourquoi, elle sortit machinalement
 Atreus, la prochaine fois que tu fais une virĂ©e nocturne, dis le moi
enfin bon, si tu veux bien de moi, bien sĂ»r »Miracle, elle avait su dĂ©crochĂ© une phrase, et sans se forcer. La jeune Alice n’osa mĂȘme plus relever la tĂȘte, faisant toujours semblant d’écrire. D’ailleurs, ce qu’elle avait Ă©crit n’avait aucun sens
 Des phrases incomprĂ©hensibles, remplissant le parchemin d’une encre noire tellement sombre qu’on aurait penser Ă  du sang. Le crĂ©pitement des flammes faisait qu’elle n’entendait plus le ronronnement de Puck’, ce qui ne la rassura pas. Elle aimait le sentir Ă  ses cĂŽtĂ©s, elle se sentait en sĂ©curitĂ©, prĂȘte Ă  braver milles et une Ă©tapes, milles et un dangers
 Mais finit, son silence Ă©tant rompu, elle jeta sa plume au niveau de l’encrier, se fourrant dans le canapĂ© moelleux. Son regard, en prioritĂ©, se dirigea vers la direction de Junie. Elle lui adressa un sourire, incapable de lui dire ne serait-ce qu’une petite phrase. Mais le silence n’est-il pas le plus criant des mots ? Il sait dire tout Ă  la fois, sans qu’on prenne la peine d’ouvrir la bouche, sans qu’on prenne la peine de tout gĂącher
 Boom-Boom. Son cƓur battait la chamade, comme d’habitude. Alice Ă©tait trop nerveuse, trop mĂ©lancolique et bien trop gentille et seule » comme dirait si bien l’homme de PrĂ©-au-Lard
 Levant les yeux au ciel pour empĂȘcher ne serait-ce qu’une larme de couler, elle soupira doucement, ne voulant pas dĂ©ranger leur fabuleuse conversation. Xavier, Xavier, Xavier
 Alice avait eut l’occasion de lui parler une seule fois, et il avait fait tout pour qu’elle comprenne qu’elle ne valait rien, qu’elle Ă©tait bĂȘte, moche, sans cƓur et
passons les dĂ©tails. Xavier Ă©tait un garçon narcissique, et Alice se demandait comment faisait Ian et Atreus
Ils Ă©taient courageux. Je compatis »Elle avait lancĂ© cette phrase avec un fond moqueur, mais sans le faire voir rĂ©ellement. Ses yeux gris brillants comme un miroir, elle fit volte face et regarda en direction de Ian, lui adressant un sourire des plus chaleureux. Ouais, on l’aimait bien pour ces sourires, Alice. Mais pour rien d’autre
c’était de sa faute. James Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 2206 - Ça, c'est un truc merdique T__T Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Hey. Comment qu’y vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? »Oh. Il avait bien essayĂ© de ne pas y faire attention. Mais quand ils Ă©taient au moins deux, c’était un peu moins Ă©vident. Ça faisait des annĂ©es, et des annĂ©es, plus prĂ©cisĂ©ment sept ans qu’il leur disait de ne pas l’appeler James, et pourtant, le message ne semblait pas s’ĂȘtre rendu aux oreilles de Junie et d’Atreus. Encore moins eux. Ils trouvaient mĂȘme ça drĂŽle. Regardez juste le sourire d’Atreus en ce moment mĂȘme. Sans rire. MĂȘme Xavier avait compris. Bon. Lui, fallait croire que Ian l’avait peut-ĂȘtre un peu forcé  Inutile de savoir comment. La seule qui prenait encore le soin de l’appeler Ian, Ă©tait Alice, et le jeune homme lui en Ă©tait trĂšs reconnaissant. L’anglais serra lĂ©gĂšrement les dents sans que ça paraisse, une lĂ©gĂšre lueur d’agacement passa dans son regard foncĂ© et se contenta d’écouter la rĂ©ponse du jeune irlandais, Ă  propos de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom-car-ça-nous-fait-vomir. xD Mais juste avant, il remarqua qu’Alice s’était Ă©clipsĂ© le temps de quelques secondes, pour en ressortir avec un boule de papier, mais il n’en dit pas moins. P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’mĂȘme coup que l’annĂ©e derniĂšre, j’vais pas pouvoir me retenir
 »À son tour, un petit sourire en coin apparu sur les lĂšvres du septiĂšme annĂ©e. Quand les deux jeunes hommes s’y mettaient ensemble, rarement on revenait pour continuer Ă  les agacer. Xavier a lui tout seul devait ĂȘtre le garçon le plus narcissique de Serdaigle. Il se prenait carrĂ©ment pour un prince. Il ne fallait pas que ça soit trop ci. Il ne fallait pas que sa nourriture soit trop froide. Il fallait toujours qu’il y ait quelqu’un Ă  son service. Et surtout, il ne fallait pas dĂ©ranger MONSIEUR durant ses prĂ©cieuses heures de sommeil, oh ! Ian suivit du regard son pote qui lançait sa fameuse lame ensanglantĂ©e de son ami sur la table. Mille et une fois, il avait tentĂ© de l’aider, mais ça l’avait Ă©tĂ© sans succĂšs. Soupirant, il jeta un regard vers Junie et Alice, puis, se tourna vers Atreus, poursuivant sa lancĂ©e. Tu t’souviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusĂ© de couper ses propres ingrĂ©dients parce que Monsieur ne voulait pas s’tĂącher les mains
 » Le jeune homme passa une main dans ses cheveux, ce qui fit tomber le capuchon sur ses Ă©paules. Il se mit Ă  faire tourner le petit livre entre ses mains, observant chacun de ses amis. Ils Ă©taient tous rĂ©unis autour du feu, chacun installĂ© sur un fauteuil. Atreus et Ian d’un cĂŽtĂ©. Junie et Alice de l’autre. N’étaient-ils pas un beau petit groupe ? Deux gars, deux filles. Leur petit rassemblement noctune. Je compatis »Le bleu et argent tourna son regard foncĂ© vers la sixiĂšme annĂ©e. C’était lui, qu’elle regardait. Il lui rendit doucement son sourire, avant d’hausser les Ă©paules. Cette annĂ©e, ils ne se laisseraient pas faire. Mais pas du tout. Ça, il aurait pu le jurer haut et fort. Xavier s’en donnait Ă  cƓur joie de parler contre tout le monde. Alice ne leur avait rien dit, mais Ian savait pertinemment qu’elle avait eu Ă  faire avec lui. Combien de fois Xavier en avait-il parlĂ© durant les cours de Ian et cie ? Si ça n’aurait pas Ă©tĂ© d’un minimum de contrĂŽle, Ian lui aurait facilement parlĂ© Ă  deux pouces du visage. Ce type allait dĂ©cidĂ©ment trop loin. Pourtant on se demandait bien ce qu’il faisait chez les Serdaigle, Ian ne lui avait jamais trouvĂ© la moindre parcelle d’intelligence dans ce qui pouvait lui servir de cerveau. Silence. Changement de sujet. Mais il ne savait pas trop quoi dire. Il tourna son regard vers les flammes, Ă©coutant le silence. Il se pencha lĂ©gĂšrement pour lancer le petit livre rouge sur la petite table qui se trouvait au cĂŽtĂ© d’Atreus. Étrangement, le bouquin ne fit pas de bruit et se contenta de glisser sur la table. Il arrĂȘta son chemin lorsqu’il percuta la lame et sans plus. Ian se replaça contre le dossier. En ce moment mĂȘme, Atreus et lui, faisait un duo d’enfer. Les deux mecs Ă©craser dans leurs coussins
 Il se contenta de lancer sa baguette dans les airs et de la rattraper. Lorsqu’elle Ă©tait dans la hauteur, sa baguette faisait quelques cercles, et retombait dans la main du bleu et argent. C’était une de ses nuits oĂč il pouvait parfois se passer de nombreux silences. Personne ne disait rien et d’un cĂŽtĂ©, c’était peut-ĂȘtre mieux ainsi. Qui allait ĂȘtre le prochain Ă  briser ce moment silencieux ? Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Sam 10 Nov 2007 - 1813 Natalia vit Atreus soupirer, et lever les yeux au ciel. Elle le fixa alors de son regard bleu tel l'ocĂ©an, elle ne comprenait pas qu'il ne lui dise pas qu'il allait faire une vadrouille dans Poudlard la nuit. C'Ă©tait ce gĂ»t de l'adrĂ©naline, de la peur, de la fuite, qui plaisait tant a Natalia. Le fait de se rendre compte que l'on ai vivant. Silence. Elle ne dĂ©crocha pas un seul regard, jusqu'a ce que celui ci pose un couteau ensanglantĂ© sur la table qui se trouvait devant eux. Silence. Du sang. Son sang ? Elle eu la rĂ©ponse a sa question pas plus de quelques secondes plus tard, lorsque Atreus releva les manches de son pull, et qu'elle vit alors de longues et fines coupures sur ses avant bras. Il avait recommencer. Il lui avait pourtant promis. Silence. Elle lui adressa alors un regard noir, mais avant qu'elle ai pu riposter, Ian avait fait son entrĂ©e a son tour dans la salle commune. Puis tout s'enchaina trĂšs vite, instinctivement, elle reporta son regard sur Alice, lui adressant un regard doux, et un sourire chaleureux. Silence. Elle ne comprennait tout ce qui se passait, elle Ă©tait dans ses pensĂ©es, Natalia le voyait bien. Silence. Elle n'en dit pas un mot cependant jusqu'a ce que la conversation reprenne son fil. Elle vit que les deux jeunes se plaignaient de quelqu'un. P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’mĂȘme coup que l’annĂ©e derniĂšre, j’vais pas pouvoir me retenir
 »Natalia fronça les sourcils, elle ne voyait pas encore de qui il parlait, mais rien que le fait qu'il parle de se battre, elle detestait ça. C'Ă©tait tellement puĂ©rile pour elle d'en venir au mains quand on avait la parole, mais soit, les garçons ne rĂ©flĂ©chissent pas comme les filles c'est bien connu. Elle ne rajouta rien, essayant de trouver de qui il parlait. Tu t’souviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusĂ© de couper ses propres ingrĂ©dients parce que Monsieur ne voulait pas s’tĂącher les mains
 » Toutes ces paroels commencaient a faire leurs petit bout de chemin dans le cerveau de Natalia. A prĂ©sent, elle voyait de qui il parlait. Xavier. Qui d'autre pouvait ĂȘtre aussi chiant ? Elle ne comptait mĂȘme plus le nombre de fois oĂč, il lui avait demander d'explorer son lit, alors qu'elle allait voir James et Atreus dans leur dortoir. A chaque fois ca terminait de la mĂȘme façon, celle ci soupirait lui explicait que mĂȘme si c'Ă©tait son seul choix, elle prĂ©fĂ©rait se faire lesbienne, puis celui ci devennait grossier, et soit Atreus soit James, finissait par lui cogner dessus. Je compatis »Natalia afficha alors un regard compatissant a Alice. Elle l'avait retrouver dans un de ses Ă©tats ce jour lĂ . Elle avait Ă©tĂ© tellement en colĂšre qu'il parle comme ca a sa meilleure amie, a son Alice, qu'elle Ă©tait montĂ©e directement dans le dortoir et lui avait collĂ©e sa main sur sa joue. C'Ă©tait la seule et unique fois dans sa vie que Natalia avait portĂ©e la main sur quelqu'un. Silence. Elle se leva alors pour se rapprocher du feu. Mettant ses mains a quelques centimĂštres des flammes, elle retourna sa tĂȘte vers ses trois amis avant de prendre a son tour la parole. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. »Elle soupira et montra un air exaspĂ©rĂ© sur son visage, avant d'exploser de rire. Silence. Une Natalia en colĂšre, ce n'est vraiment pas quelque chose de positif pour la personne qui est dans son champs de mir. Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 205 Atreus avait sentit la lĂ©gĂšre tension de Junie lorsqu’il lui avait montrĂ© ses bras mutilĂ©s. Oui. Je sais. Ca ne lui plaisait pas. Ni d’ailleur Ă  Ian et Alice. Il le savait. Il avait entendu leurs paroles d’aide et leurs essais de le convaincre d’arrĂȘter. Et voilĂ  comment il remerciait ses amis en continuant. T’es vraiment qu’un sale con Atreus. » Il l’entendait cette voix dans sa tĂȘte. Il l’entendait mais ne faisait rien. C’était plus fort que lui. C’est tout. Une sorte d’addiction Ă  la scarification. Mais en voyant ses mais Ă  ses cĂŽtĂ©s, Alice, Junie, Ia,, il sentit vraiment le pincement au cƓur qui apparut. Il baissa la tĂȘte doucement et son regard mĂ©lancolique se perdit dans l’ocĂ©an des flammes. La voix d’Alice le sortit de sa torpeur - Atreus, la prochaine fois que tu fais une virĂ©e nocturne, dis le moi
enfin bon, si tu veux bien de moi, bien sĂ»r » L’Irlandais sourit doucement avant mĂȘme de tourner la tĂȘte vers elle. Il lui adressa un regard chargĂ© de tendresse, d’affection avant de lui rĂ©pondre. Atreus - Pas d’problĂšme Alice. T’sais bien que je pourrai pas te dire non. » - Il dĂ©tourna le regard vers Junie, tout en gardant son lĂ©ger sourire - Tu pourras nous accompagner Junie. Toi aussi Ian. Nan vraiment j’voulais ĂȘtre seul ce soir pour
 Pour c’que vous savez. Vous n’aurez pas apprĂ©cier ça de toute façon. » La voix du Serdaigle se tut. Silence. Il regarda ses coupure Ă  la lueur du feu. Les plaies brillantes Ă©taient nettement visible. Soudain, tout lui parut stupides. C’était vrai. Il fallait le dire. C’était complĂštement con ce qu’il faisait. Sa conscience tordu et maligne choisit bien-sĂ»r ce moment pour lui faire rappeler le bonheur que cela procurait. Oui. Ca aussi c’était vrai. Une fois de temps en temps. Seulement. C’était ça qu’il devrait faire. C’est ce qu’il lĂącha sans prĂ©ambule. Atreus - J’vais me calmer de ce cĂŽtĂ©-là
 Pour vous. » Atreus Ă©tait conscient qu’il aurait du prendre cette dĂ©cision depuis des annĂ©es. La volontĂ©. C’était ça qu’il l’avait empĂȘchĂ©. La volontĂ© d’arrĂȘter ne lui Ă©tait jamais venu. Jamais. MĂȘme pas pour eux. Il secoua la tĂȘte doucement. Allez. On oublie ça. La soirĂ©e Ă©tait belle, agrĂ©able. Il n’avait aucune envie de plomber l’ambiance avec ses petits problĂšmes merdiques, sans intĂ©rĂȘts. La discussion Ă©tait en c’moment sur Xavier. Ce connard. Ian Ă©voquait le cours de potion. Tsss. A ce souvenir, mĂȘme sa mĂ©lancolie passagĂšre disparu. Comment qu’il le dĂ©testait c’gars. Ce dernier s’en apercevait bien mais persistait Ă  toujours faire son grand ». Combien de fois Ian et lui l’avait cognĂ© ? Il se tenait tranquille envers eux mais voilà
 A chaque fois il remettait ça sur n’importe qui. MĂȘme Alice y avait eu droit. Ce jour-lĂ , le trio Ian-Junie-Atreus avait eu du mal Ă  ne pas l’écorcher vif. L’Irlandais s’aperçu qu’il avait serrĂ© les poings, les jointures nettement visible et blanche. Il desserra ces derniers avant d’entendre Junie profĂ©rait sa colĂšre, elle-aussi contre Xavier. Junie - Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. » Le ton tellement exaspĂ©rĂ© de la jeune femme fit naĂźtre un sourire sur le visage d’Atreus. Junie et ses rĂ©actions crĂ». Il l’adorait. Fallait dire aussi que leur caractĂšre Ă©taient lĂ©gĂšrement semblables. Autant elle ne passait pas aux mains comme le faisait trop souvent l’irlandais, elle n’était pas la derniĂšre Ă  dire ce qu’elle pensait. Bref. Le silence avait repris ses aises. Voulant changer de sujet, sachant pertinemment que si ça continuait comme ça il pourrait pas s’empĂȘcher d’aller frapper l’autre con de Xavier, Atreus avisa le bouquin qu’avait jetĂ© Ian sur la table, prĂȘt de sa lame. Un regard interrogatif sur la couverture unie et nue, avec seulement une sorte de dessin Ă©trange. Avec un air intĂ©ressĂ©, il montra de la tĂȘte le livre Ă  James. Atreus - Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? Bon. Ce n’était peut-ĂȘtre pas le mieux Ă  demander pour changer de sujet mais c’est tout ce qu’il avait trouvĂ©. De plus, le motif du bouquin l’attirait. Étrangement
 Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 1253 Comment expliquer ça ? Qu’en si peu de temps, qu’en quelques secondes, Alice s’était mise Ă  sourire. C’était son premier vrai » sourire de la soirĂ©e, et elle sentait que ça n’allait pas ĂȘtre le dernier. Ian lui lança un sourire, qu’elle lui rendit immĂ©diatement. Puis Atreus prit une bonne rĂ©solution, qu’il n’avait pas prise avant se calmer. La jeune Serdaigle lui lança un sourire, elle savait qu’il y arriverait, et de toute façon, elle serait lĂ  pour l’épauler
tous serait lĂ  pour l’aider. Et puis ils se remirent Ă  parler de Xavier
 Alice Ă©tant la plus petite des Quatre, il avait facile Ă  lui pourrir l’existence. Un jour, il avait mĂȘme rĂ©ussit Ă  la bloquer dans un coin pour lui dire ses quatre vĂ©ritĂ©s, forçant un peu trop au goĂ»t d’Alice sur les mots tu viendras dans mon lit » et t’es vraiment nulle ». Mais la jeune SixiĂšme AnnĂ©e ne s’était pas laissĂ©e faire, elle lui avait simplement foutus une gifle, histoire qu’il se calme un peu. Depuis, elle avait plus le droit aux menaces et aux regards noirs, mais maintenant, elle Ă©tait habituĂ©. Il avait sĂ»rement raison elle Ă©tait bonne Ă  rien, mais la seule chose qui Ă©tait sĂ»re, c’est que quoi qu’il dise, il avait toujours Junie, Atreus et Ian sur le dos – ce qui Ă©tait toujours marrant, d’ailleurs. Soupirant rien qu’en y repensant, la jeune Brown Ă©couta attentivement la phrase de sa meilleure amie. En quelques secondes, Alice s’était mise Ă  rire, un rire presque inaudible qu’on remarquait grĂące Ă  son sourire. Pour l’enfoncer encore plus, ça, Junie Ă©tait toujours lĂ  ! Elle non plus ne pouvait pas le voir en peinture, pourtant, c’était loin d’ĂȘtre rĂ©ciproque
 Un jour je l’ai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de l’annĂ©e !" Ce type est tellement bĂȘte qu’il ne voit mĂȘme pas que personne ne l’aime, mĂȘme ses propres amis ne peuvent pas le voir
 Et j’en sais quelque chose, j’ai eut l’occasion de parler avec Jesse, et il m’a dit qu’à chaque fois que Xavier m’insultait, il me dĂ©fendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie l’a trompĂ© avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me l’a dit, j’étais plié  C’est la preuve que, quand mĂȘme, on n’est pas les seuls Ă  ne pas pouvoir le voir en peinture. D’ailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des filles
Rien qu’en y pensant, ça me donne envie de vomir. »Les rumeurs et les comĂ©rages. Ca, s’était le domaine d’Alice et Junie. Bon, sĂ»rement pas de Ian et d’Atreus, mais des fois il y en avait des trĂšs drĂŽle qui circulait. Tout en regardant Junie, la jeune bleu et argent frissonna. Il faisait chaud, oui, surtout grĂące au feu mais il y avait toujours un petit courant d’air glacial
 Il Ă©tait tard, mais la fatigue ne se fit pas ressentir. Ses yeux gris Ă©taient encore grand ouverts, se posant sur tout et n’importe quoi. Elle repensait Ă  Atreus qui lui avait dit, quelques minutes plus tĂŽt, qu’il ne pourrait pas lui dire non pour une virĂ©e nocturne. Elle s’imaginait dĂ©jĂ  y aller avec eux depuis la rentrĂ©e, elle n’en avait fait que deux. Habituellement, c’était rare quand elle n’en faisait pas, mais lĂ , c’était carrĂ©ment le contraire. Mais stop, elle verrait ça demain en se levant. Il ne fallait pas gĂącher ce si bon moment. Le silence s’imposa durant quelques secondes, des secondes oĂč le cƓur de la jeune Alice battait la chamade. Ses mains tremblaient, puis s’arrĂȘtaient, puis elle recommençaient
c’était un cercle vicieux, et elle ne savait pas quel Ă©tait la cause de ses tremblements soudains. Mais elle cessa d’y penser qu’en la voix d’Atreus retentit. Il cassa le silence avec douceur, surprenant la jeune Alice, qui ne s’en doutait pas. Le regard Ă  prĂ©sent dirigĂ© vers Atreus, elle l’écouta, comme les autres. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »La jeune Brown dirigea immĂ©diatement son regard vers le livre de Ian. Sa couverture Ă©tait Ă©trange, avec une inscription qui capturait votre regard en quelques instants. Sa couleur unie vous scotchĂ© sur votre canapĂ©, oui, c’était sĂ»r ce livre attirĂ© l’Ɠil. A sa vue, Alice se dit qu’elle devrait passĂ© plus souvent de temps Ă  la BibliothĂšque. C’est vrai ça, elle n’y allait jamais Ă  part quand elle devait y rejoindre quelqu’un, mais Ă  chaque fois qu’elle y mettait les pieds, elle Ă©tait forcĂ©e. Sourire. Alice se tourna vers Junie, puis vers Puck’ qui ronronnait toujours autant sur ses genoux. A prĂ©sent, elle se voyait trĂšs mal dormir comme lui, surtout maintenant
 James Re Everybody's Changing - Libre Sam 17 Nov 2007 - 2206 HRP _ DĂ©solĂ© du retard. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. »Le Serdaigle fixait Natalia de son regard foncĂ©, un lĂ©ger sourire sur les lĂšvres, suite au comportement de cette derniĂšre. Ce type avait vraiment le don de se mettre les pieds dans les plats, et malheureusement, il se heurtait souvent Ă  des personnes plus fortes que lui. Pourtant le message ne semblait jamais se rendre au cerveau du fait qu’il ne fallait pas se moquer de Atreus, James et Natalia en particulier. C’était probablement ceux qui n’avaient aucunement peur des consĂ©quences qui pouvaient y avoir s’ils osaient touchĂ©s Xavier. Il Ă©tait une sorte de dĂ©fouloir au final
 Bref. Les deux bleues et argents, Natalia et Alice s’étaient mis Ă  rire, et Ian observa la sixiĂšme annĂ©e lorsqu’elle prit la parole. Un jour je l’ai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de l’annĂ©e !" Ce type est tellement bĂȘte qu’il ne voit mĂȘme pas que personne ne l’aime, mĂȘme ses propres amis ne peuvent pas le voir
 Et j’en sais quelque chose, j’ai eut l’occasion de parler avec Jesse, et il m’a dit qu’à chaque fois que Xavier m’insultait, il me dĂ©fendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie l’a trompĂ© avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me l’a dit, j’étais plié  C’est la preuve que, quand mĂȘme, on n’est pas les seuls Ă  ne pas pouvoir le voir en peinture. D’ailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des filles
Rien qu’en y pensant, ça me donne envie de vomir. »Si l’on sort du contexte de MĂ©faits Accomplis. J’aurais pu vous dire que Xavier Ă©tait le portrait crachĂ© de Malefoy, mais Ă  Serdaigle. Prenez ce comportement et transposĂ© le sur Xavier et ça reviendra au mĂȘme. Retournons au RP Ă  prĂ©sent. Un nouveau sourire apparu sur les lĂšvres du septiĂšme annĂ©e, avant d’échanger, Ă  nouveau, un air complice avec son ami, Atreus. En effet, les potins n’étaient pas spĂ©cialement le domaine des garçons, mais les rumeurs circulaient toujours aussi rapidement dans l’école de sorcellerie. Ian n’était pas le type qui allait en raconter, mais plutĂŽt Ă©couter. Par exemple, lorsqu’il attendait quelqu’un dans les couloirs et qu’un groupe de personnes prĂšs de lui parlent de quelque chose qui pouvait s’avĂ©rer intĂ©ressant, il Ă©coutait. Sinon, sans plus. Savoir qu’untel ou untel Ă©tait sortit lui ou l’autre, au final, ça ne changeait strictement rien Ă  sa vie. Mais savoir que Jesse dĂ©fendait Ă©galement Alice, eut une sorte d’effet de soulagement pour le septiĂšme annĂ©e. Pour ce qui Ă©tait de Peter
 Sans commentaire. James tourna, Ă  son tour, le regard vers les flammes, se sentant bien. Parler entre eux, Ă©tait toujours bien agrĂ©able. Sortant un peu de l’habituel Ă©touffant de tous les Ă©lĂšves en plein jour. La nuit Ă©tait une sorte de refuge pour plusieurs. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »Hum
 Hein ? Quoi ? Ian se redressa lentement et posa, comme tous les autres apparemment, sur son propre bouquin. C’était vrai qu’il Ă©tait Ă©trange, et c’était bien ça qui obsĂ©dait le bleu et argent. Il y avait quelque chose de pas normal, mais il n’arrivait pas Ă  trouver quoi. Et ça, ça l’énervait. Je ne sais pas trop
 C’est assez complexe Ă  vrai dire
 » commença-t-il tout en se levant du fauteuil pour aller reprendre le posa sa main sur le livre et l’attira contre lui, un drĂŽle de phĂ©nomĂšne se produisit. La lame le suivait. Elle glissa sur la table, jusqu’à temps qu’elle tombe sur le sol, alors que Ian Ă©loignait le livre de la table, observant se qui se passait. Il lança un regard perplexe aux trois autres et tourna le livre sur lui-mĂȘme. Sur le cĂŽtĂ©, les pages avaient Ă©tĂ© tĂąchĂ©s lĂ©gĂšrement du sang de la lame, et du coup, on aurait dit que ça agissait comme une sorte d’aimant. Le jeune homme s’accroupit et rapprocha / Ă©loigna le bouquin de la lame, qui elle, avançait toujours plus vers le livre, et vers Ian par le fait mĂȘme. Ok
 Ça, c’est pas normal
 »Petite expĂ©rience. Il fit glisser rapidement le livre contre le sol, qui partit quatre ou cinq mĂštres plus loin. La lame tourna sur elle-mĂȘme et, comme je l’ai dit, comme un aimant, elle glissa Ă  la vitesse de la lumiĂšre juste Ă  cĂŽtĂ©, mais sans y toucher, manquant de couper Ian au passage. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Everybody's Changing - Libre Everybody's Changing - Libre Page 1 sur 1 Sujets similaires» [alone...~libre]» You'll Ask For Me - Libre.» We Had A Bad Day... [Libre]» A l'air libre» Promenade [Libre]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers Mike Brant DurĂ©e 0322 Auteur Michel JourdanCompositeur Mike Brant Paroles Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule rĂ©ponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'Ă©tais certain cette fois Que tu me retiendrais On se trompe quelques fois Une larme a tout changĂ© Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je rĂ©alise Je rĂ©alise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Par ma faute trop de fois Mon amour tu as pleurĂ© J'ai voulu partir cent fois Et cent fois je suis restĂ© Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime Je t'aime et je veux te le dire Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule rĂ©ponse Rien qu'une larme dans tes yeux Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime MICHEL JOURDAN, MIKE BRANT SM PUBLISHING FRANCE Mike Brant DurĂ©e 0319 Auteur Michel JourdanCompositeur Mike Brant Paroles Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule rĂ©ponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'Ă©tais certain cette fois Que tu me retiendrais On se trompe quelques fois Une larme a tout changĂ© Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je rĂ©alise Je rĂ©alise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Par ma faute trop de fois Mon amour tu as pleurĂ© J'ai voulu partir cent fois Et cent fois je suis restĂ© Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime Je t'aime et je veux te le dire Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule rĂ©ponse Rien qu'une larme dans tes yeux Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime MICHEL JOURDAN, MIKE BRANT SM PUBLISHING FRANCE Rien qu’une larme dans tes yeuxC’est toujours ta seule rĂ©ponseQuand je te dis qu’il vaudrait mieuxNe plus se revoir nous deux J’étais certain cette foisQue rien ne me retiendraitOn se trompe quelquefoisUne larme a tout changĂ© Rien qu’une larme dans tes yeuxEt soudain je rĂ©aliseJe rĂ©alise que de nous deuxC’est moi le plus malheureux Par ma faute, trop de fois,Mon amour tu as pleurĂ©J’ai voulu partir cent foisEt cent fois je suis restĂ© Rien qu’une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t’aimeJe t’aime et je veux te le direJe veux te revoir sourire 
 Rien qu’une larme dans tes yeuxC’est toujours ta seule rĂ©ponse Rien qu’une larme dans tes yeuxJe veux te revoir sourire Rien qu’une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t’aime Paroles de la chanson Rien Qu'une Larme par InterprĂšte Inconnu Je pourrais faire semblant, mais le cƓur n’y est plus. Mentir encore longtemps mĂȘme si tout est foutu. Le temps a fait sa route, puisque l’amour n’est plus. Il nous reste les doutes, l’avenir suspendu. Je pourrais faire semblant, semblant d’y croire encore. De croire Ă  ces amants que la passion dĂ©vore. A tes bras me serrant avant que je m’endorme. Mais tes yeux sont fuyants, ne me regardant plus. Rien qu’une larme, Un peu de tristesse dans mes yeux, Qui te dĂ©sarme. Le cri de mon cƓur en silence. Rien qu’une larme, Comme une blessure qui nous Ă©loigne, puisque tu pars. J’ai peur de l’évidence. Tu me laisseras. J’en ai fait des efforts, Trop longtemps attendu. Notre amour est bien mort, mais tu ne l’as pas vu. Si tel est notre sort, je n’aimerai plus jamais plus. Je n’ai aucun remords, si tu m’aimes plus. Rien qu’une larme, Un peu de tristesse dans mes yeux, Qui te dĂ©sarme. Le cri de mon cƓur en silence. Rien qu’une larme, Comme une blessure qui nous Ă©loigne, puisque tu pars. J’ai peur de l’évidence. Tu me laisseras.

rien qu une larme dans tes yeux paroles